samedi, juin 12, 2010

 

Connaissez-vous bien notre PM, Jean Charest?

Député(e) de Sherbrooke

Premier ministre du Québec
Ministre responsable des dossiers jeunesse

Cheminement politique et professionnel

« Jean Charest est né à Sherbrooke le 24 juin 1958. Il est admis au Barreau du Québec en 1981 et pratique le droit dans sa ville natale. En 1984, candidat pour le Parti progressiste conservateur du Canada dans la circonscription de Sherbrooke, il est élu député lors des élections générales.

Nommé ministre d'État à la Jeunesse le 30 juin 1986, il devient le plus jeune membre de l'histoire du cabinet fédéral. Il occupe ce poste jusqu'au 30 avril 1988, et devient ensuite ministre d'État à la Condition physique et au Sport amateur.

Réélu à la Chambre des communes dans la circonscription de Sherbrooke aux élections générales de 1988, Jean Charest est nommé Leader adjoint du gouvernement. En 1990, il est nommé président du Comité parlementaire spécial pour le projet de résolution d'accompagnement à l'Accord constitutionnel du lac Meech.

Le 21 avril 1991, il est nommé ministre de l'Environnement et siège au Comité des priorités et de la planification du cabinet, ainsi qu'au Comité sur l'unité canadienne et les négociations constitutionnelles. Pendant son mandat en tant que ministre, il dirige la délégation canadienne au Sommet Planète Terre de Rio de Janeiro en 1992. Le 25 juin 1993, il est nommé vice-premier ministre, ministre de l'Industrie et des Sciences et ministre responsable du Bureau fédéral de développement économique régional du Québec.

Candidat à la direction du Parti progressiste conservateur du Canada en 1993, Jean Charest en devient le chef le 14 décembre de la même année. Il occupe ce poste jusqu'au 30 avril 1998. Pendant cette période, il est réélu député de la circonscription de Sherbrooke aux élections générales fédérales de 1993 et de 1997. Il est nommé ensuite vice-président du Comité national des Québécoises et des Québécois pour le NON pendant la campagne référendaire du Québec en 1995

Le 30 avril 1998, Jean Charest devient le chef du Parti libéral du Québec. Élu dans la circonscription de Sherbrooke aux élections générales provinciales du 30 novembre 1998, il devient chef de l'opposition officielle à partir du 15 décembre de la même année.

Jean Charest est réélu dans la circonscription de Sherbrooke aux élections générales du 14 avril 2003.

Le 29 avril suivant, il est assermenté et devient le 29e premier ministre du Québec, responsable des dossiers jeunesse. Le 26 mars 2007, il est réélu député de sa circonscription lors des élections générales, et assermenté de nouveau premier ministre du Québec le 18 avril 2007. Le 8 décembre 2008, le gouvernement qu'il dirige est réélu pour une troisième fois consécutive. Un fait d'arme exceptionnel dans l'histoire contemporaine du Québec. Jean Charest est ainsi assermenté à nouveau premier ministre du Québec le 18 décembre 2008.

Vision, détermination et courage

Depuis quelques années, le Québec a amorcé une incroyable période de développement. Avec le nouvel espace économique qu'il a proposé pour le Québec, Jean Charest a annoncé un repositionnement majeur de notre situation sur l'échiquier mondial. Au nord, au sud, à l'ouest et à l'est, les ressources et les marchés sont partout considérables. Des projets sont lancés, de nouvelles alliances sont signées, et de grands chantiers sont entrepris.

Ici même, les gigantesques travaux d'infrastructures lancés il y a 2 ans sont les plus importants de l'histoire du Québec. Leur ampleur est telle que pour chaque année à venir, ils fourniront de l'emploi à 100 000 travailleurs québécois. En 2009 seulement, le gouvernement de Jean Charest a investi 14 milliards de dollars sur tout le territoire : routes, écoles, hôpitaux, projets énergétiques.

Dans le domaine de l'énergie, les avancées sont spectaculaires. Grâce à la mise en chantier de gigantesques centrales hydroélectriques, ainsi qu'à l'ajout de milliers de mégawatts d'énergie éolienne, Jean Charest fait preuve de vision en développant et en diversifiant la capacité de production d'énergie propre et renouvelable du Québec. De plus, à l'automne 2008, il présente aux Québécois l'étape ultime du nouvel espace économique qu'il met en place pour le Québec : développer le grand nord québécois grâce au Plan Nord. Ce plan se déploie sur un territoire gigantesque dont le potentiel énergétique, minier et récréotouristique est colossal.

Les efforts du gouvernement sont également bien sûr dirigés vers les missions essentielles que sont la santé, l'éducation et l'aide aux familles. Depuis la mise en place en 2006 de la politique familiale la plus généreuse en Amérique du Nord, une forte croissance des naissances est enregistrée au Québec, renversant la courbe de natalité à la baisse depuis des décennies. Le Québec est le nouveau paradis des familles.

Au cours des derniers mois, parce que le gouvernement de Jean Charest s'est mobilisé et parce qu'il a pris les bonnes décisions, le Québec a bien résisté à l'une des plus importantes crises financières que le monde ait connue. Les Québécois peuvent être fiers aujourd'hui de voir que les indicateurs économiques confirment que le Québec s'en tire nettement mieux que ses voisins canadiens, américains et européens.

En mars 2010, avec le dépôt d'un budget qualifié d'audacieux, de courageux et de visionnaire, Jean Charest s'attaque au défi des finances publiques. Les choix sont difficiles mais nécessaires. Ce budget permet surtout de jeter les bases d'une reprise économique durable. Avec ce budget, il donne aux Québécois les moyens d'être plus prospère et d'assurer, de façon durable, une meilleure qualité de vie pour nous et pour ceux qui nous suivent. »

COMMENTAIRE DE PHILOMAGE

Permettez-moi de faire le point, suite à la fin de session en queue de poisson à l'Assemblée nationale. Je considère que le travail effectué par le PM est de premier calibre. Après avoir affronté une récession majeure et rappelons-le, mondiale, M. Charest et son équipe poursuivent sur leur lancée et font face ouvertement aux problèmes que vivent les Québécois, que ce soit en éducation, en santé ou aux finances publiques.

Que veut-on d'un Premier ministre? Apparemment, les Québécois ne le savent pas. Jean Charest qui gouverne le Québec depuis trois mandats a pourtant prouvé qu'il avait l'étoffe et les capacités pour bien nous représenter. Répondez à la question suivante : qui pourrait faire mieux que lui dans les circonstances actuelles? La réponse est simple : personne.

Avec une opposition péquiste où priment la partisanerie et l'absence de sens civique, sans contenu et incapable de proposer des solutions valables, nous faisons face à un vide politique qui est troublant. Le reste des autres partis politiques, on n'en parle pas, c'est le néant.

Pour un aîné, l'image que projette Jean Charest est rassurante. Il est à l'écoute de nos besoins et essaie avec les moyens du bord de faire face à un vieillissement accéléré de la population québécoise, avec les conséquences multiples que l'on sait bien décoder maintenant. C'est la sortie du marché du travail des baby-boomers qui va faire pencher la balance vers un autre type de société dont on devra s'accommoder.

À la question, que veulent les Québécois? Plus, toujours plus, sans assumer les coûts réels des politiques sociales-démocrates mises de l'avant. Nous avons dépassé largement notre capacité de se payer des services publics. Qui va oser le dire?

Il faudrait plus de création de richesse collective ? Personne ne veut travailler 70 heures et plus par semaine. Alors, il faut faire avec ce que l'on a.

Nous devrions être fiers d'avoir un Premier ministre qui est à la hauteur de la tâche et qui se dévoue pour assurer un mieux-être aux Québécois. Il est facile de le critiquer. Mais rappelons-nous que nos politiciens en place sont ceux que l'on a choisis démocratiquement et qu'ils sont à l'image de nos choix. Heureusement, nous avons su nous donner un gouvernement majoritaire, avec un capitaine à bord qui sait gouverner, malgré les tempêtes et les imprévus.

Avons-nous pris le temps d'établir des comparaisons avec les gouvernements d'autres pays ou régions du monde? Nos journalistes trouvent plus de réconfort dans le sensationnalisme que dans le fait d'apporter un véritable éclairage sur « le possible » en politique active. Osons nous comparer, pour voir? Je suis certain que Jean Charest aurait une haute cote pour sa gouvernance dans pas mal de contrées du monde.

Enfin, pour le salaire dérisoire qu'il est payé, ceteris paribus, pour une tâche comme la sienne, « NON, C'EST PAS CHER! », comme le monde ordinaire se plaît à dire.

IL NE FAUDRAIT PAS LE PERDRE PARCE QUE, LÀ, ON SERAIT DANS LA MERDE, JUSQU'AU COU.

Ça, c'est mon opinion personnelle et je la partage entièrement.

RD

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