vendredi, février 28, 2014
Prélude à une élection controversée avec Mme Marois qui carbure à la langue de bois
Caricature représentant Jean Tremblay, Pauline Marois et Djemila Benhabib
DANS QUEL UNIVERS POLITIQUE, LE QUÉBEC EST-IL EN TRAIN DE S'ENGAGER?
Les baby-boomers québécois, qui atteignent maintenant l'âge de la retraite dans les années 2010, sont des enfants de la RÉVOLUTION TRANQUILLE des années 60. Ils ont vécu chaque étape de la transformation de la société québécoise et ceux qui sont encore vivants et dédiés à leur province, revivent à nouveau les hantises du nationalisme québécois, soutenu par une très jeune pionnière à l'époque, Mme Pauline Marois, devenue Première Ministre, avec un gouvernement péquiste minoritaire.
Alors que se fait sentir le besoin d'un leadership politique charismatique, rationnel, rassembleur et surtout préoccupée par les « vrais problèmes » de la société québécoise, nous avons devant nous une caricature de politicien qui manipule le verbe et répand les largesses de l'État en promesses de toutes sortes, la plupart sans fondement économique, avec de l'argent tiré de nos taxes ou simplement emprunté en gonflant la dette publique.
Ouvrez les pages des quotidiens québécois, que ce soit le Journal de Québec ou Montréal, Le Devoir, la Presse et j'en passe et j'en oublie. À chaque jour, des analystes chevronnés envoient des messages ciblés et criblés de critiques pertinentes et, j'oserais dire, fondamentales. Et les messages ne passent pas au plan des instances politiques actuellement au Pouvoir. QU'EST-CE QUI SE PASSE?
FAUT-IL CROIRE À UNE BAISSE DE LA QUALITÉ DE NOTRE DÉMOCRATIE?
Les Péquistes ont un plan de match et les Québécois, quelles que soient leurs attentes, vont devoir passer au moulinet. La pensée magique reprend le dessus et les droits fondamentaux, dont celui de bien choisir qui est le plus apte à nous gouverner devient l'objet de subtiles manipulations: par exemple, le débat sur la Charte ou encore un investissement majeur contestable en Gaspésie dans une cimenterie sans étude d'opportunité et la liste continue de s'allonger...., malgré le fait que les élections ne sont même pas encore déclenchées.
Pour nous, les Seniors (comprenant les gens de l'âge d'or, les retraités en tout genre et les aînés), Mme Marois fait partie de notre environnement sociétal ou de notre génération. Chose certaine, elle ne représente pas l'avenir. A-t-elle encore les qualités requises ou les qualifications pour faire un autre quatre (4) ans à la tête de l'État québécois, avec l'énorme responsabilité de relever l'économie québécoise, de lui administrer « un remède de cheval » à la Parizeau, de hausser les niveaux de productivité, de réduire les impôts des particuliers et des entreprises, de mobiliser les élus de tous les paliers de gouvernement ou de faire face à des défis de société colossaux comme le vieillissement en accéléré de la population, etc. ? Permettez-moi de répondre UN GROS NON.
D'ailleurs, malgré les récents sondages qui semblent avantager le PQ dans sa réélection, beaucoup beaucoup de monde ne sont pas satisfaits de la dernière année de cette gouvernance péquiste. On n'est plus à l'heure de l'improvisation. Il nous faut choisir les meilleurs politiciens, les plus chevronnés, ceux qui prennent nos intérêts en main. SINON, C'EST LA CATASTROPHE!
Nous, qui avons vécu au cours des dernières décennies les principaux changements de la société québécoise, nous le ressentons encore plus que la jeune relève québécoise parce que nous nous souvenons du chemin parcouru et avons appris de nos erreurs; c'est ce que l'on appelle généralement l'expérience.
MISER SUR LA CRÉATION DE LA RICHESSE ET HAUSSER LE NIVEAU DE VIE : PRIORITÉS ABSOLUES DE CETTE PROCHAINE ÉLECTION
Voilà la solution universelle sur le comment résoudre nos problèmes de société touchant toutes les catégories ou classes de citoyens du Québec. Tout passe par ces deux grands jalons. C'est englobant et aussi très simple à comprendre. En créant plus de richesse dans les différents secteurs de l'économie, il y aura plus de revenus ou de profits disponibles, ce qui débouche inévitablement sur une plus grande capacité de consommer, d'investir ou d'épargner et finalement, de dépenser. Le résultat net est une hausse du niveau de vie de tous les citoyens (ordinaires ou corporatifs). En somme, une spirale positive vers plus de prospérité.
Au cours de la prochaine campagne électorale, le vote doit porter sur ces enjeux fondamentaux. Le choix des électeurs doit correspondre aux hommes et aux femmes du Québec qui sont les plus aptes à remplir ce mandat. Enfin, nos futurs élus doivent rechercher le Pouvoir, en adoptant comme stratégie gagnante le FRANC-PARLER, loin de la langue de bois et des manipulations politiques.
RD
Rentrée parlementaire: l'AQRP présente les attentes des personnes aînées
À la veille de la prochaine rentrée parlementaire, l'Association québécoise des retraité(e)s des secteurs public et parapublic (AQRP) présente ses attentes dans les dossiers de la santé et de l’avenir de la retraite.
«Le ministre Hébert doit cesser de négliger les ressources d’hébergement déjà en place au profit de son projet d’assurance autonomie, encore vague et mal défini. A l’heure actuelle, s’attaquer au manque de sécurité, au manque de formation du personnel des résidences privées pour aînés, aux lacunes dans les CHSLD, à la dénonciation des actes de maltraitance dans le réseau de la santé et à la suspension des déplacements précipités de personnes aînées vers des ressources qui n’ont même pas été évaluées, devrait être prioritaire. Rien ne sert de courir, mieux vaut partir à point ! », a rappelé la présidente de l’AQRP, Mme Lyne Parent.
En matière de santé et de services sociaux, voici les principales demandes de l’AQRP pour la prochaine session parlementaire :
- que le gouvernement suspende la fermeture de places en CHSLD et le déplacement transitoire de personnes jusqu’à ce qu’une procédure d’évaluation de la qualité des ressources intermédiaires soit complétée;
- que soient rendues obligatoires les formations de préposé aux bénéficiaires et de principes de déplacement sécuritaire des personnes pour tout le personnel des résidences privées pour personnes aînées;
- qu’un programme d’aide financière soit mis en place afin de soutenir les résidences privées dans la mise à niveau de leurs infrastructures;
- qu’un ratio minimal d’employés-résidants de 1/30 soit imposé dans les résidences privées et les ressources d’hébergement pour personnes en perte d’autonomie et ce, en tout temps;
- que le gouvernement se saisisse du projet de loi 399 visant à enrayer la maltraitance des personnes vulnérables hébergées dans le réseau de la santé et des services sociaux.
« Le plan d’action sur les régimes de retraite récemment déposé par la ministre Maltais indiquait vouloir protéger la rente des retraités. Depuis, la ministre Maltais s’est déclarée ouverte au partage des déficits passés, une situation qui viendrait jeter un coup de semonce sur la santé financière déjà précaire des retraités. De plus, nous ne sommes toujours pas représentés de manière autonome dans les négociations qui touchent à notre avenir. Cette situation ne peut plus durer! », selon la présidente de l’AQRP.
Dans le dossier de la retraite, voici les principales demandes de l’AQRP pour la prochaine session parlementaire :
- que le gouvernement prévoit la participation de représentants des associations de retraités aux prochaines négociations qui touchent à leur régime de retraite, notamment celles prévues dans les secteurs public et parapublic en 2015;
- revoir la proportion du financement des régimes par l’employeur afin de tendre au partage à 50 % des services futurs, tout en respectant la négociation;
- hausser le maximum de gains admissibles au RRQ (2e niveau de cotisation);
- que les régimes de retraite soient des créanciers prioritaires en cas de faillite d’entreprise;
- que le gouvernement élimine la clause de discrimination à partir de 65 ans et plus dans le soutien financier de la CSST (baisse des prestations après 65 ans).
COMMENTAIRE DE PHILOMAGE
Nous allons avoir des élections au printemps 2014. Les demandes de l'AQRP sont tout à fait légitimes et fondées. Personnellement, je ne crois pas à la gouvernance du PQ pour assurer une plus grande sécurité pour les aînés. Leur principal projet demeure avant tout la souveraineté, l'indépendance ou faire du Québec, un pays séparé du Canada. Ça n'a pas changé!
Il ne faut pas se faire d'illusion : il y a des manipulateurs qui actionnent en coulisse la marionnette MAROIS. S'ils rentrent majoritaires à la prochaine élection, rien ne pourra plus les arrêter. Ils vont forcer les Québécois à s'engager dans cette voie.
Rappelons-nous la fameuse cage aux homards à PARIZEAU? C'est la personne qui vient de déclarer qu'il est très inquiet pour l'économie du Québec et son avenir.... Aussi bien dire la vérité et son contraire. On doit briser le Canada, mais on n'a pas les moyens de le faire. Dans quel bourbier allons-nous nous enfoncer? Les Seniors (plus particulièrement les aînés) sont les plus menacés par les troubles sociaux à venir, si les Péquistes remportent la palme des prochaines élections.
FAISONS VALOIR NOS DROITS FONDAMENTAUX, PRINCIPALEMENT CELUI DE DÉFENDRE NOTRE PAYS, LE CANADA, GAGE DE NOTRE SÉCURITÉ ÉCONOMIQUE ET DE NOTRE APPARTENANCE À LA GRANDE COMMUNAUTÉ CANADIENNE!
RD
mercredi, février 26, 2014
Les aînés prêts à recourir à la SANTÉ NUMÉRIQUE
86% des seniors aimeraient pouvoir consulter leur dossier médical numérique, selon l'étude - Konstantin Sutyagin
(Relaxnews) - En phase avec les nouvelles technologies, les seniors veulent, eux aussi, profiter de leurs avantages pour s'occuper de leur santé. Selon une étude Accenture publiée mercredi 5 février, menée en France et dans huit autres pays, ces consommateurs souhaiteraientt accéder à des informations médicales qui les concernent; et notamment à leur dossier médical électronique.
Aujourd'hui, sept seniors sur dix sont demandeurs de services de santé numériques. Ils aimeraient pouvoir gérer leur santé, en consultant leur dossier médical numérique pour 86% d'entre eux, prendre des rendez-vous en ligne pour 73%, bénéficier de systèmes de rappel électronique pour 67% ou avoir des contacts par mail pour 61%.
Des attentes non négligeables lorsque l'on sait qu'à l'heure actuelle seuls 65% déclarent être en mesure de consulter leur dossier médical numérique et que 2% seulement ont la possibilité de renouveler leur ordonnance en ligne, or ils sont 63% à être intéressés par cette dernière éventualité.
Cette étude a été menée auprès de 9.015 adultes dans neuf pays (Allemagne, Australie, Brésil, Canada, Espagne, Etats-Unis, France, Royaume-Uni et Singapour).
COMMENTAIRE DE PHILOMAGE
Même si, au Québec, on est loin encore avant d'avoir notre dossier médical en ligne, avec un accès complet, il n'en demeure pas moins que le reste du monde évolue et que les Seniors des principaux pays industrialisés ont de plus en plus le désir de suivre leur profil médical en ligne.
RD
(Relaxnews) - En phase avec les nouvelles technologies, les seniors veulent, eux aussi, profiter de leurs avantages pour s'occuper de leur santé. Selon une étude Accenture publiée mercredi 5 février, menée en France et dans huit autres pays, ces consommateurs souhaiteraientt accéder à des informations médicales qui les concernent; et notamment à leur dossier médical électronique.
Aujourd'hui, sept seniors sur dix sont demandeurs de services de santé numériques. Ils aimeraient pouvoir gérer leur santé, en consultant leur dossier médical numérique pour 86% d'entre eux, prendre des rendez-vous en ligne pour 73%, bénéficier de systèmes de rappel électronique pour 67% ou avoir des contacts par mail pour 61%.
Des attentes non négligeables lorsque l'on sait qu'à l'heure actuelle seuls 65% déclarent être en mesure de consulter leur dossier médical numérique et que 2% seulement ont la possibilité de renouveler leur ordonnance en ligne, or ils sont 63% à être intéressés par cette dernière éventualité.
Cette étude a été menée auprès de 9.015 adultes dans neuf pays (Allemagne, Australie, Brésil, Canada, Espagne, Etats-Unis, France, Royaume-Uni et Singapour).
COMMENTAIRE DE PHILOMAGE
Même si, au Québec, on est loin encore avant d'avoir notre dossier médical en ligne, avec un accès complet, il n'en demeure pas moins que le reste du monde évolue et que les Seniors des principaux pays industrialisés ont de plus en plus le désir de suivre leur profil médical en ligne.
RD
Les résidences privées pour aînés toujours hors-la-loi
Article de Johanne Roy, Journal de Québec, 24 février 2014
Les propriétaires attendent toujours une entente pour la vérification des antécédents des employés
Les résidences privées pour aînés ne peuvent se conformer à la loi les obligeant à vérifier les antécédents criminels de leurs nouveaux employés, même six mois après son adoption, faute d’une entente avec les corps policiers.
«On est un peu coincés. L’entente-cadre entre les ministres de la Santé et de la Sécurité publique n’étant pas encore ficelée, nous ne savons pas sur quel pied danser avec les corps policiers», argue le président du Regroupement québécois des résidences pour aînés, Yves Desjardins.
Des propriétaires de résidences font actuellement affaires avec des firmes privées, comme Garda, pour vérifier le passé judiciaire des candidats à l’emploi.
Or, le nouveau règlement stipule que les résidences doivent désormais s’adresser aux corps policiers.
«On se retrouve entre deux chaises. C’est bric-à-brac. Certains corps policiers disent aux propriétaires qu’ils ne font pas ce genre de vérifications. Ils n’ont pas encore reçu les directives à ce sujet», signale M. Desjardins.
Dans le noir
Selon lui, les gestionnaires privés ne savent à peu près rien sur les procédures à suivre. «On n’a encore aucune idée de la tarification et des délais de traitement des demandes. A titre d’exemple, un service de police nous dit : je te reviens dans deux mois. Lorsqu’on a besoin d’un employé, on ne peut pas se permettre d’attendre deux mois», illustre M. Desjardins.
La porte-parole du ministère de la Santé, Stéphanie Ménard, affirme que l’entente-cadre doit être signée «au cours des prochaines semaines».
Son collègue au ministère de la Sécurité publique, Clément Falardeau, reconnaît que les résidences privées pour aînés se trouvent dans «une zone grise» depuis l’entrée en vigueur du nouveau règlement.
Antécédents
Les établissements publics dispensés
Les établissements de santé publics ne sont pas tenus de faire appel à des corps policiers afin de vérifier les antécédents criminels de leurs nouveaux employés.
«C’est laissé au choix de l’organisation. Nous vérifions les antécédents judiciaires à l’aide de SOQUIJ, l’outil informatique qui permet d’accéder au plumitif (fichier informatisé du palais de justice)», précise Karine Morin, conseillère juridique au CSSS de la Vieille-Capitale.
La vérification se fait lorsque l’emploi est confirmé au candidat sous réserve qu’il n’ait pas d’infraction criminelle à son dossier. Le candidat doit consentir à fournir sa date de naissance.
Infractions criminelles
«Tout candidat à l’embauche doit déclarer les infractions criminelles qui sont en lien avec son futur emploi, sauf s’il y a eu pardon. Par exemple, un auxiliaire de santé à domicile qui aurait eu une condamnation pour vol en 2013, cela se pourrait qu’il ne soit pas embauché», illustre Mme Morin.
Une attention particulière est portée aux condamnations pour fraude, vol par effraction, voies de fait avec lésions corporelles, souligne-t-elle.
COMMENTAIRE DE PHILOMAGE
Pour le PQ, ce qui compte le plus, c'est la prochaine élection et un gouvernement majoritaire. Le reste, c'est du superflu.
Attendons-nous au pire avec la réélection de ce gouvernement, si jamais ça arrive.
RD
Seul à la retraite – par hasard ou par choix
RAPPORT DE L’INSTITUT
INFO-PATRIMOINE BMO
Comme les
Canadiens vivent de plus en plus longtemps, le profil de la retraite évolue
constamment. La génération énergique du baby-boom étant maintenant à la barre,
il n’est pas surprenant que des retraites plus longues et plus actives se
pointent à l’horizon.
Toutefois,
que ce soit par hasard ou par choix, un nombre étonnamment élevé de Canadiens
vivront leurs années dorées seuls. Une étude récente révèle qu’il est de plus
en plus courant de vivre seul à la retraite, soit en raison d’un décès, d’un
divorce ou parce qu’on ne s’est jamais marié.
Selon un
rapport de Recensement du Canada, 43% des aînés canadiens de 65 ans ou plus
vivent seuls. De ce nombre, 5 % ne se sont jamais mariés, 8 % sont séparés ou
divorcés et les 30 % restants sont veufs.
Le fait est
que, même si vous êtes en couple maintenant, il est fort probable que vous
soyez seul à un certain moment durant votre retraite.
À quoi ce phénomène grandissant
est-il dû ?
Les raisons
pour lesquelles de plus en plus de retraités vivent seuls sont variées.
Divorce au
mitan de la vie. Des études indiquent qu’un nombre sans précédent de nouveaux
retraités sont divorcés. Selon l’Enquête nationale sur la santé de la population
réalisée en 2006, plus du tiers des mariages au Canada se terminent par un
divorce avant le trentième anniversaire du couple
Ce phénomène
s’expliquerait en partie par ce que les psychologues appellent « la capacité de
revendication des baby-boomers », un mouvement grandissant qui incite de
nombreuses personnes ayant, pendant des années, rempli des rôles
traditionnellement dictés par la société à revendiquer leur liberté pour leur
développement personnel, à titre de récompense plus tard dans la vie. En effet,
les attitudes à l’égard du mariage changent rapidement, pas seulement en
Amérique du Nord, mais partout dans le monde. L’expression jukunen rikon
(divorce tardif) est associée à la frustration des Japonaises à l’endroit de
leurs époux nouvellement retraités, surnommés « feuilles mouillées » parce
qu’ils ont tendance à « coller ».
Décès du conjoint. Les
probabilités qu’au moins un membre d’un couple âgé de 65 ans vive jusqu’à 90
ans sont de 50 % et, dans un cas sur quatre, un des membres vivra jusqu’à 94
ans. Pour les femmes surtout, les probabilités de survivre à leur conjoint sont
élevées. Un article d’un journal américain déclarait en 2008 que plus de quatre
femmes américaines sur dix de 65 ans ou plus sont veuves.
Célibataire. Un plus
grand nombre de personnes choisissent de ne pas se marier. Selon de récentes
données sur la population, moins de gens se marient qu’auparavant. En fait,
pour la première fois, le sondage de 2006 de Statistique Canada sur les
personnes de 15 ans ou plus révélait que le nombre de gens non mariés dépassait
de près de 4 % celui des gens mariés.
Six
stratégies importantes pour les personnes seules ou qui pourraient le devenir
La
retraite en solo présente quelques défis bien particuliers pour les baby-boomers
et leurs conseillers financiers. Nous avons déterminé six stratégies importantes
qui pourront faciliter la transition si elles sont mises en œuvre avec doigté.
1. Planifier
la retraite le plus rapidement possible
2. Bâtir un
patrimoine et le faire fructifier
3. Comprendre
ce que sont les revenus et les dépenses
4. Revoir
ses besoins de logement
5. Préserver
sa vie sociale et son équilibre psychologique
6. Préparer
une stratégie détaillée pour garder la santé
POUR EN
SAVOIR PLUS, OBTENIR OU LIRE LE RAPPORT, consultez l’adresse suivante :
Votre maison pour assurer votre retraite ?
Journal de Québec, 19 février 2014
Près du quart des Canadiens prévoient utiliser leur résidence comme principale source de revenus après avoir quitté le marché du travail, selon une étude de la Financière Sun Life. Ce type de financement fait toutefois sourciller les experts.
Les auteurs de l’étude précisent que dans un marché qui est déjà en surchauffe, les personnes qui approchent de leur retraite pourraient ressentir encore plus de pression s’ils prévoient utiliser leur maison comme principale source de revenu.
« En raison de ces conditions économiques, les gens pourraient devoir envisager déménager dans une propriété plus petite afin de bénéficier d'un revenu additionnel », note Anne Meloche, vice-présidente régionale affaires institutionnelles, Québec et Est du Canada chez Placement mondiaux Sun Life.
Le planificateur financier et président d’Option Fortune, Richard Giroux, est du même avis.
«Souvent, on se met la tête dans le sable et on pense qu’on va pouvoir demeurer dans notre maison et que tout va bien aller. Sauf que lorsqu’on fait un budget, et qu’on manque de revenus, on se dit qu’on va vendre la maison. On voit cela de plus en plus.»
M. Giroux prévient toutefois que le montant obtenu de la vente de la propriété ne sera peut-être pas aussi élevé qu’attendu, s’il s’avère que le marché est déprimé.
Quant à ceux qui songent à obtenir une marge hypothécaire pour financer leur train de vie, ils pourraient aussi avoir une mauvaise surprise, parce que les institutions financières pourraient leur offrir une marge moindre qu’espéré.
Les personnes interrogées ont aussi indiqué que leurs autres sources de revenu proviendront des régimes de l’État (30 %), de leur épargne personnelle (27 %), des régimes d’employeurs (23 %) ou d’héritage (5 %).
Retraite progressive
D'autre part, l’étude révèle que la retraite progressive est devenue une stratégie de plus en plus répandue.
Ainsi près de 50 % des répondants ont indiqué qu’elles prévoient occuper un emploi à temps partiel avant de quitter définitivement le marché du travail.
Parmi les personnes qui prévoient une retraite tardive, 25 % d’entre eux ont indiqué continuer à travailler pour pouvoir payer les dépenses de première nécessité, 21 % pour bien vivre et 16 % parce qu’ils ne croient pas que les prestations de retraite des gouvernements seront suffisantes.
En moyenne, les Canadiens prévoient avoir besoin d’un revenu de retraite annuel de 46 000 $ et ils prévoient passer une vingtaine d’années à la retraite.
L'âge moyen auquel les Canadiens s'attendent à prendre leur retraite a atteint son niveau le plus bas des quatre dernières années; il est de 66 ans cette année, comparativement à 69 ans en 2011.
Le sondage a été réalisé en ligne par la firme Ipsos Reid entre les 12 et 20 novembre dernier auprès de 3 005 travailleurs canadiens âgés entre 30 et 65 ans.
COMMENTAIRE DE PHILOMAGE
Il est de plus en plus évident que beaucoup de ménages n'auront pas tous les revenus nécessaires pour maintenir leur présent niveau de vie, une fois rendue à la retraite. De nombreux événements viennent souvent perturber la famille au cours des années précédents la retraite et aussi durant la retraite. Mentionnons, à titre d'exemples : la stabilité du couple marié ou en concubinage, les conditions du marché du travail, la santé de chacun d'entre nous et surtout, les aléas de la vie, i.e. les choses imprévisibles qui nous arrivent et qui perturbent toutes les planifications.
Il n'en demeure pas moins que la résidence familiale ou le condo que l'on possède va toujours être un actif à privilégier dans l'organisation de notre retraite. Personne ne peut se passer de ce bien dans notre climat canadien et encore moins, au moment d'atteindre l'âge d'un Senior. C'est un super placement qui s'ajoute aux autres. Personne ne peut passer à côté, quels que soient les avis des firmes de placement et d'investissement.
RD
Près du quart des Canadiens prévoient utiliser leur résidence comme principale source de revenus après avoir quitté le marché du travail, selon une étude de la Financière Sun Life. Ce type de financement fait toutefois sourciller les experts.
Les auteurs de l’étude précisent que dans un marché qui est déjà en surchauffe, les personnes qui approchent de leur retraite pourraient ressentir encore plus de pression s’ils prévoient utiliser leur maison comme principale source de revenu.
« En raison de ces conditions économiques, les gens pourraient devoir envisager déménager dans une propriété plus petite afin de bénéficier d'un revenu additionnel », note Anne Meloche, vice-présidente régionale affaires institutionnelles, Québec et Est du Canada chez Placement mondiaux Sun Life.
Le planificateur financier et président d’Option Fortune, Richard Giroux, est du même avis.
«Souvent, on se met la tête dans le sable et on pense qu’on va pouvoir demeurer dans notre maison et que tout va bien aller. Sauf que lorsqu’on fait un budget, et qu’on manque de revenus, on se dit qu’on va vendre la maison. On voit cela de plus en plus.»
M. Giroux prévient toutefois que le montant obtenu de la vente de la propriété ne sera peut-être pas aussi élevé qu’attendu, s’il s’avère que le marché est déprimé.
Quant à ceux qui songent à obtenir une marge hypothécaire pour financer leur train de vie, ils pourraient aussi avoir une mauvaise surprise, parce que les institutions financières pourraient leur offrir une marge moindre qu’espéré.
Les personnes interrogées ont aussi indiqué que leurs autres sources de revenu proviendront des régimes de l’État (30 %), de leur épargne personnelle (27 %), des régimes d’employeurs (23 %) ou d’héritage (5 %).
Retraite progressive
D'autre part, l’étude révèle que la retraite progressive est devenue une stratégie de plus en plus répandue.
Ainsi près de 50 % des répondants ont indiqué qu’elles prévoient occuper un emploi à temps partiel avant de quitter définitivement le marché du travail.
Parmi les personnes qui prévoient une retraite tardive, 25 % d’entre eux ont indiqué continuer à travailler pour pouvoir payer les dépenses de première nécessité, 21 % pour bien vivre et 16 % parce qu’ils ne croient pas que les prestations de retraite des gouvernements seront suffisantes.
En moyenne, les Canadiens prévoient avoir besoin d’un revenu de retraite annuel de 46 000 $ et ils prévoient passer une vingtaine d’années à la retraite.
L'âge moyen auquel les Canadiens s'attendent à prendre leur retraite a atteint son niveau le plus bas des quatre dernières années; il est de 66 ans cette année, comparativement à 69 ans en 2011.
Le sondage a été réalisé en ligne par la firme Ipsos Reid entre les 12 et 20 novembre dernier auprès de 3 005 travailleurs canadiens âgés entre 30 et 65 ans.
COMMENTAIRE DE PHILOMAGE
Il est de plus en plus évident que beaucoup de ménages n'auront pas tous les revenus nécessaires pour maintenir leur présent niveau de vie, une fois rendue à la retraite. De nombreux événements viennent souvent perturber la famille au cours des années précédents la retraite et aussi durant la retraite. Mentionnons, à titre d'exemples : la stabilité du couple marié ou en concubinage, les conditions du marché du travail, la santé de chacun d'entre nous et surtout, les aléas de la vie, i.e. les choses imprévisibles qui nous arrivent et qui perturbent toutes les planifications.
Il n'en demeure pas moins que la résidence familiale ou le condo que l'on possède va toujours être un actif à privilégier dans l'organisation de notre retraite. Personne ne peut se passer de ce bien dans notre climat canadien et encore moins, au moment d'atteindre l'âge d'un Senior. C'est un super placement qui s'ajoute aux autres. Personne ne peut passer à côté, quels que soient les avis des firmes de placement et d'investissement.
RD