mardi, mai 30, 2006
L’avenir de l’humanité : un sujet préoccupant?
Avec le temps, je me suis rendu compte que j’étais un homme ordinaire parmi les hommes de mon époque. J’ai exercé une profession qui m’a bien servi sur le plan financier et maintenant, je suis à la retraite. Mais, ce que j’apprécie le plus, c’est la dimension culturelle et humaniste que mes études m’ont apporté. Cet élan vers le savoir et la connaissance s’est poursuivi toute ma vie. À date, je n’y ai gagné ni honneur ni mérite particulier, sauf un état de conscience qui me fait encore plus apprécier l’existence de tous les jours.
Certaines réalités me sont venues à l'esprit et m’ont frappé, au fur et à mesure que mon horizon s’est élargi au plan de la compréhension et de l’expérience. C’est le cas du sort de l’humanité, de tous les hommes pris dans leur ensemble. Que deviendront-ils dans un proche et lointain futur? Le futur serait-il sauvage, c’est-à-dire un monde où l’intelligence des hommes disparaîtra au profit de l’instinct animal? Les hommes qui ont évolué sur quelques 7 millions d’années avant d’atteindre le stade de l’homo sapiens sapiens, que vont-ils devenir, eux qui pensent contrôler toute la planète Terre?
Pourquoi parler du destin de l'humanité? À mon humble avis, c'est la grande question de l'heure. Aujourd'hui, l'humanité devient une grande famille planétaire qui occupe tout l'espace terrestre disponible, mais elle est bien divisée cette grande famille. En fait, ses membres sont loin de penser habiter "le grand village global" que l'on se plaît à évoquer depuis plus d'une décennie. Pourtant, c'est une époque marquante que nous franchissons, à l'aube des grands voyages spatiaux, de la maîtrise de la bio-génétique, de la communication instantanée, de l'intégration des technologies révolutionnaires,…
L'homme découvre un nouvel Eden et se découvre à nouveau nu, prenant conscience de lui-même, près du Dieu qui l'habite depuis des millénaires et qu'il cherche à connaître intimement. Mais, rien ne lui garantie qu’Il existe vraiment ce Dieu. On est dans le domaine de la Foi, non du Scientifique. Un éternel recommencement, me direz-vous! L'homme d'aujourd'hui a appris de ses prédécesseurs et poursuit sa marche en avant. Mais, cette marche en avant doit avoir un sens ou une orientation. Vers quoi nous dirigeons-nous? Ma vie, et celle de mes enfants et futurs descendants, prend un sens à travers le destin de l'humanité et vice-versa. Qui en est vraiment conscient, à l'heure actuelle? Oui, nous en sommes encore là!
Certains diront : cette préoccupation origine en grande partie de la baisse de la pratique religieuse, du fait que les religions fondées sur une Révélation n’apportent plus les réponses jugées fondamentales comme autrefois. La Bible, malgré toute la Sagesse qu’elle recèle n’éteint plus l’angoisse existentielle de l’homme. N'ayant plus de Dieu à l'image des hommes, les hommes se tournent vers l'immensité de l'univers et s'interrogent comme jamais sur la place réelle qu'ils occupent en tant qu'espèce dans cet immense inconnu appelé « l'univers ».
Nos yeux regardent à travers les microscopes électroniques ou les télescopes les plus puissants. Et la découverte de notre habitat progresse à grande vitesse, dans l’infiniment petit comme dans l’infiniment grand. Vers quoi se tourner pour enfin connaître, après tant de millénaires d'évolution, le fin mot de la Connaissance ultime, celle qui donnera un sens à notre vie à tous, à celle de l’espèce humaine dans un proche ou lointain futur?
À l'image de l'univers, l'homme est un ensemble cohérent de milliards de cellules, qui se modifient continuellement, selon les lois du code génétique hérité de millions d'années d'évolution. Pourquoi a-t-on abouti à la conscience humaine? Possiblement que les milliards d'humains, qui disposent de cette étincelle de raison, le temps d’une vie, deviennent le flambeau allumé, de façon permanente, de l'humanité à la recherche de son avenir et de son destin. Que penser maintenant du paradis tant recherché du moi immortel, de l’individu qui meurt et se survit? Une illusion ou une forme d’instinct qui garantit à la « grande ruche » de l’humanité de poursuivre sa destinée dans le temps?
En ce début de XXIe siècle, il nous est devenu évident que le grand départ de l’humanité a été lent, tellement lent que nous nous étonnons encore du temps qu’il a fallu à l’homme pour se perfectionner et surtout complexifier ses apprentissages. Les derniers siècles ont changé tout cela. Nous progressons maintenant à un rythme tel que nous sommes persuadés être capables d'obtenir de vraies réponses à pratiquement tout ce que l’homme touche et manipule. Mais la compréhension du futur nous échappe. Seuls nous sont accessibles le présent et le passé.
L'humanité est probablement plus qu'une aventure terrestre. Cependant, pour l'instant, il faudrait y réfléchir plus profondément, un peu beaucoup comme l'a fait Darwin, avec son approche "de l'origine des espèces". S'agira-t-il pour l’homme d'une adaptation progressive ou de mutations soudaines et spontanées, face à un environnement changeant? L'univers est bien grand pour une espèce qui a pris des centaines de millions d'années à parvenir à un premier éclair de conscience planétaire.
Actuellement, tout ça sont des préoccupations qui ne mobilisent que peu d’hommes parce qu’ils sont tous occupés à assurer leur survie et celle de leurs familles. Le futur immédiat prend toute la place. Le questionnement sur le destin de l’humanité, est-ce une utopie parmi tant d’autres ou doit-on y consacrer des énergies et des ressources, autant sinon plus que l’environnement, par exemple?
RD
Certaines réalités me sont venues à l'esprit et m’ont frappé, au fur et à mesure que mon horizon s’est élargi au plan de la compréhension et de l’expérience. C’est le cas du sort de l’humanité, de tous les hommes pris dans leur ensemble. Que deviendront-ils dans un proche et lointain futur? Le futur serait-il sauvage, c’est-à-dire un monde où l’intelligence des hommes disparaîtra au profit de l’instinct animal? Les hommes qui ont évolué sur quelques 7 millions d’années avant d’atteindre le stade de l’homo sapiens sapiens, que vont-ils devenir, eux qui pensent contrôler toute la planète Terre?
Pourquoi parler du destin de l'humanité? À mon humble avis, c'est la grande question de l'heure. Aujourd'hui, l'humanité devient une grande famille planétaire qui occupe tout l'espace terrestre disponible, mais elle est bien divisée cette grande famille. En fait, ses membres sont loin de penser habiter "le grand village global" que l'on se plaît à évoquer depuis plus d'une décennie. Pourtant, c'est une époque marquante que nous franchissons, à l'aube des grands voyages spatiaux, de la maîtrise de la bio-génétique, de la communication instantanée, de l'intégration des technologies révolutionnaires,…
L'homme découvre un nouvel Eden et se découvre à nouveau nu, prenant conscience de lui-même, près du Dieu qui l'habite depuis des millénaires et qu'il cherche à connaître intimement. Mais, rien ne lui garantie qu’Il existe vraiment ce Dieu. On est dans le domaine de la Foi, non du Scientifique. Un éternel recommencement, me direz-vous! L'homme d'aujourd'hui a appris de ses prédécesseurs et poursuit sa marche en avant. Mais, cette marche en avant doit avoir un sens ou une orientation. Vers quoi nous dirigeons-nous? Ma vie, et celle de mes enfants et futurs descendants, prend un sens à travers le destin de l'humanité et vice-versa. Qui en est vraiment conscient, à l'heure actuelle? Oui, nous en sommes encore là!
Certains diront : cette préoccupation origine en grande partie de la baisse de la pratique religieuse, du fait que les religions fondées sur une Révélation n’apportent plus les réponses jugées fondamentales comme autrefois. La Bible, malgré toute la Sagesse qu’elle recèle n’éteint plus l’angoisse existentielle de l’homme. N'ayant plus de Dieu à l'image des hommes, les hommes se tournent vers l'immensité de l'univers et s'interrogent comme jamais sur la place réelle qu'ils occupent en tant qu'espèce dans cet immense inconnu appelé « l'univers ».
Nos yeux regardent à travers les microscopes électroniques ou les télescopes les plus puissants. Et la découverte de notre habitat progresse à grande vitesse, dans l’infiniment petit comme dans l’infiniment grand. Vers quoi se tourner pour enfin connaître, après tant de millénaires d'évolution, le fin mot de la Connaissance ultime, celle qui donnera un sens à notre vie à tous, à celle de l’espèce humaine dans un proche ou lointain futur?
À l'image de l'univers, l'homme est un ensemble cohérent de milliards de cellules, qui se modifient continuellement, selon les lois du code génétique hérité de millions d'années d'évolution. Pourquoi a-t-on abouti à la conscience humaine? Possiblement que les milliards d'humains, qui disposent de cette étincelle de raison, le temps d’une vie, deviennent le flambeau allumé, de façon permanente, de l'humanité à la recherche de son avenir et de son destin. Que penser maintenant du paradis tant recherché du moi immortel, de l’individu qui meurt et se survit? Une illusion ou une forme d’instinct qui garantit à la « grande ruche » de l’humanité de poursuivre sa destinée dans le temps?
En ce début de XXIe siècle, il nous est devenu évident que le grand départ de l’humanité a été lent, tellement lent que nous nous étonnons encore du temps qu’il a fallu à l’homme pour se perfectionner et surtout complexifier ses apprentissages. Les derniers siècles ont changé tout cela. Nous progressons maintenant à un rythme tel que nous sommes persuadés être capables d'obtenir de vraies réponses à pratiquement tout ce que l’homme touche et manipule. Mais la compréhension du futur nous échappe. Seuls nous sont accessibles le présent et le passé.
L'humanité est probablement plus qu'une aventure terrestre. Cependant, pour l'instant, il faudrait y réfléchir plus profondément, un peu beaucoup comme l'a fait Darwin, avec son approche "de l'origine des espèces". S'agira-t-il pour l’homme d'une adaptation progressive ou de mutations soudaines et spontanées, face à un environnement changeant? L'univers est bien grand pour une espèce qui a pris des centaines de millions d'années à parvenir à un premier éclair de conscience planétaire.
Actuellement, tout ça sont des préoccupations qui ne mobilisent que peu d’hommes parce qu’ils sont tous occupés à assurer leur survie et celle de leurs familles. Le futur immédiat prend toute la place. Le questionnement sur le destin de l’humanité, est-ce une utopie parmi tant d’autres ou doit-on y consacrer des énergies et des ressources, autant sinon plus que l’environnement, par exemple?
RD
dimanche, mai 28, 2006
Nutrition des séniors : les bonnes clefs
L’alimentation est un facteur déterminant dans l’augmentation de la durée de vie chez les personnes âgées. En oublier l’importance peut avoir des conséquences considérables sur l’état de santé en général et diminuer par le fait même la qualité de vie de tous les jours.
J’ai trouvé un article intéressant sur la nutrition des séniors. Il traite tout particulièrement des comportements alimentaires à adopter quand on fait partie des aînés.
« Avec l’âge, une alimentation saine et équilibrée est particulièrement importante pour se maintenir en bonne santé et prévenir l’apparition ou l’aggravation de processus souvent liés au vieillissement. Du fait de la diminution des capacités d’adaptation de l’organisme, les séniors sont en effet plus sensibles à des apports alimentaires insatisfaisants.
Des besoins nutritionnels souvent sous-estimés
L’estimation des besoins nutritionnels du sénior est variable en fonction de son âge et de son état de santé. Mais ses besoins nutritionnels ont souvent tendance à être sous-estimés.
Beaucoup de personnes pensent, qu’avec l’âge, il est normal de diminuer ses apports alimentaires, étant donné une dépense physique moins élevée.
Ce n’est pas vrai ! Il ne faut pas manger moins en vieillissant. Si l’activité physique est effectivement souvent diminuée chez le sujet âgé, son rendement métabolique est également moins bon, ce qui entraîne une augmentation des besoins nutritionnels pour un même niveau d’énergie. Par exemple, les besoins en protéines sont 25 % plus élevés chez le sénior par rapport au jeune adulte.
Certains besoins en vitamines et minéraux peuvent également être revus à la hausse : les apports conseillés en calcium et en vitamine D sont augmentés chez le sénior, afin de limiter les problèmes de perte osseuse à l’origine de fractures invalidantes.
La diminution de la sensation de soif et de l’efficacité des mécanismes de régulation entraîne un risque de déshydratation non négligeable chez le sujet âgé. L’apport suffisant d’eau dans cette population est donc particulièrement important et doit être augmenté en cas de fièvre ou de canicule.
Quelles déficiences dans l’alimentation des séniors en France ?
Outre les situations de dénutrition sévère, beaucoup de séniors sont sujets à des déficiences en vitamines et minéraux, susceptibles d’entraîner une diminution des défenses immunitaires.
Très souvent, les personnes âgées ne consomment pas en quantité suffisante ce dont elles ont besoin pour se maintenir en bonne santé.
En effet, il a été constaté, par exemple, que 20 % des personnes âgées en bonne santé consomment une quantité de protéines inférieure à leurs besoins, alors que ces dernières sont indispensables pour le maintien de la masse musculaire.
En ce qui concerne les graisses, les séniors ont tendance à consommer trop de graisses saturées (beurre, pâtisseries, fromages…) au détriment des acides gras insaturés (huiles, graisse de volaille, olives…), ce qui est mauvais sur le plan cardio-vasculaire.
Les déficiences en vitamines et minéraux sont aussi fréquentes chez le sénior : c’est le cas du magnésium, qui participe au bon fonctionnement nerveux, de la vitamine D et du calcium, indispensables pour maintenir son capital osseux et diminuer le risque de fractures.
La diminution des apports en fibres et en eau avec l’âge est par ailleurs à l’origine de nombreux troubles du transit chez le senior.
Comment expliquer le phénomène de la dénutrition chez le sujet âgé ?
La malnutrition chez le sujet âgé est souvent la conséquence d’une multitude de facteurs. Avec l’âge, c’est une accumulation de petits problèmes de santé qui font que l’alimentation perd en quantité, mais aussi en qualité.
Le vieillissement peut entraîner des modifications physiologiques : les sens (vue, goût, odorat) et l’état bucco-dentaire peuvent s’altérer progressivement et diminuer ainsi le plaisir de manger.
Des troubles du transit (surtout des constipations), des modifications métaboliques de certaines vitamines et sels minéraux, ainsi que des troubles moteurs (diminution de l’aptitude à préparer les repas ou à faire les courses) peuvent aussi accentuer une situation de malnutrition.
Diminution des performances intellectuelles (en particulier la mémoire), dépression, voire un certain isolement social, sont d’autres facteurs susceptibles d’aggraver une telle situation.
Conseils pour bien s’alimenter
Une consommation suffisante de glucides, protéines et lipides est indispensable au maintien d’un état de santé satisfaisant. Veiller à couvrir ses besoins en sels minéraux et oligo-éléments est aussi indispensable.
Les protéines
Il est indispensable que le sénior consomme quotidiennement une quantité de protéines suffisante. Celles-ci peuvent être trouvées dans certains végétaux (légumes secs) mais surtout dans les produits animaux comme la viande, le poisson, les œufs, les produits laitiers…
On recommande au sujet âgé de consommer une portion de protéines animales au moins une fois par jour (à raison d’une portion de viande ou de poisson de 150 g ou de 2 œufs).
Les glucides (sucres)
Les personnes âgées ont souvent un goût prononcé pour le sucré. Certes, consommer des produits sucrés de temps en temps est source de plaisir, mais les glucides sont surtout à puiser dans les féculents, comme le riz, les pâtes, les pommes de terre, la semoule.
Il est recommandé de consommer du pain (de préférence complet, aux céréales ou au son pour sa richesse en fibres) ainsi qu’un fruit à chaque repas pour sa richesse en vitamines.
Les lipides (graisses)
La population âgée consomme globalement trop de graisses saturées, caractéristiques des produits animaux (beurre, crème). Il est recommandé de remplacer une partie de ces graisses par des lipides d’origine végétale (les huiles en particulier), riches en acides gras insaturés. Consommer de l’huile de colza ou de noix, ainsi que du poisson gras (saumon, thon, maquereau…) permettra de satisfaire les besoins en acides gras essentiels Oméga-3, particulièrement importants pour cette catégorie de population car indispensables au bon fonctionnement cardio-vasculaire.
Les boissons
Pour des apports hydriques suffisants, la personne âgée doit essayer de boire 1,5 L de boissons (eau, tisanes, bouillons, jus de fruits…) régulièrement tout au long de la journée, même si elle n’éprouve pas forcément de sensation de soif.
Les vitamines et minéraux
La prévention des déficits en vitamines et minéraux passe avant tout par une alimentation variée, riche en fruits et légumes frais.
Les vitamines anti-oxydantes (C, E, béta-carotène) sont particulièrement importantes car elles luttent contre les radicaux libres à l’origine du vieillissement cellulaire.
La vitamine C se trouve en grande quantité dans le cassis, le kiwi, les agrumes, ainsi que le persil et les choux de Bruxelles, alors que les principales sources de vitamine E sont les huiles végétales (huile de tournesol, d’olive). Le béta-carotène est présent en grande quantité dans les fruits et légumes colorés en orange, comme la carotte, la pêche, l’abricot, le melon…
Un complément vitaminique peut être envisagé en cas de carence particulière, après avis médical.
Des apports suffisants en calcium peuvent être obtenus par une alimentation diversifiée et suffisante. Il est conseillé de consommer régulièrement des produits laitiers au cours de la journée, et de privilégier les eaux minérales riches en calcium.
Les fromages à pâte dure comme le beaufort, le cantal, l’emmental, le comté ou encore le parmesan sont particulièrement riches en calcium.
Le zinc joue un rôle important dans l’immunité et le maintien d’un état nutritionnel satisfaisant, et il se trouve en grande quantité dans les viandes, les poissons et les fruits de mer.
De manière générale, chez le sujet âgé, les restrictions trop drastiques en certains aliments sont à éviter. Cela concerne en particulier le sel, dont l’apport est souvent considéré comme trop important chez l’adulte en bonne santé ; cependant, chez la personne âgée, un régime restrictif en sel peut s’avérer potentiellement dangereux. Il est bon, dans tous les cas, de se conformer à la prescription du médecin traitant. »
RD
J’ai trouvé un article intéressant sur la nutrition des séniors. Il traite tout particulièrement des comportements alimentaires à adopter quand on fait partie des aînés.
« Avec l’âge, une alimentation saine et équilibrée est particulièrement importante pour se maintenir en bonne santé et prévenir l’apparition ou l’aggravation de processus souvent liés au vieillissement. Du fait de la diminution des capacités d’adaptation de l’organisme, les séniors sont en effet plus sensibles à des apports alimentaires insatisfaisants.
Des besoins nutritionnels souvent sous-estimés
L’estimation des besoins nutritionnels du sénior est variable en fonction de son âge et de son état de santé. Mais ses besoins nutritionnels ont souvent tendance à être sous-estimés.
Beaucoup de personnes pensent, qu’avec l’âge, il est normal de diminuer ses apports alimentaires, étant donné une dépense physique moins élevée.
Ce n’est pas vrai ! Il ne faut pas manger moins en vieillissant. Si l’activité physique est effectivement souvent diminuée chez le sujet âgé, son rendement métabolique est également moins bon, ce qui entraîne une augmentation des besoins nutritionnels pour un même niveau d’énergie. Par exemple, les besoins en protéines sont 25 % plus élevés chez le sénior par rapport au jeune adulte.
Certains besoins en vitamines et minéraux peuvent également être revus à la hausse : les apports conseillés en calcium et en vitamine D sont augmentés chez le sénior, afin de limiter les problèmes de perte osseuse à l’origine de fractures invalidantes.
La diminution de la sensation de soif et de l’efficacité des mécanismes de régulation entraîne un risque de déshydratation non négligeable chez le sujet âgé. L’apport suffisant d’eau dans cette population est donc particulièrement important et doit être augmenté en cas de fièvre ou de canicule.
Quelles déficiences dans l’alimentation des séniors en France ?
Outre les situations de dénutrition sévère, beaucoup de séniors sont sujets à des déficiences en vitamines et minéraux, susceptibles d’entraîner une diminution des défenses immunitaires.
Très souvent, les personnes âgées ne consomment pas en quantité suffisante ce dont elles ont besoin pour se maintenir en bonne santé.
En effet, il a été constaté, par exemple, que 20 % des personnes âgées en bonne santé consomment une quantité de protéines inférieure à leurs besoins, alors que ces dernières sont indispensables pour le maintien de la masse musculaire.
En ce qui concerne les graisses, les séniors ont tendance à consommer trop de graisses saturées (beurre, pâtisseries, fromages…) au détriment des acides gras insaturés (huiles, graisse de volaille, olives…), ce qui est mauvais sur le plan cardio-vasculaire.
Les déficiences en vitamines et minéraux sont aussi fréquentes chez le sénior : c’est le cas du magnésium, qui participe au bon fonctionnement nerveux, de la vitamine D et du calcium, indispensables pour maintenir son capital osseux et diminuer le risque de fractures.
La diminution des apports en fibres et en eau avec l’âge est par ailleurs à l’origine de nombreux troubles du transit chez le senior.
Comment expliquer le phénomène de la dénutrition chez le sujet âgé ?
La malnutrition chez le sujet âgé est souvent la conséquence d’une multitude de facteurs. Avec l’âge, c’est une accumulation de petits problèmes de santé qui font que l’alimentation perd en quantité, mais aussi en qualité.
Le vieillissement peut entraîner des modifications physiologiques : les sens (vue, goût, odorat) et l’état bucco-dentaire peuvent s’altérer progressivement et diminuer ainsi le plaisir de manger.
Des troubles du transit (surtout des constipations), des modifications métaboliques de certaines vitamines et sels minéraux, ainsi que des troubles moteurs (diminution de l’aptitude à préparer les repas ou à faire les courses) peuvent aussi accentuer une situation de malnutrition.
Diminution des performances intellectuelles (en particulier la mémoire), dépression, voire un certain isolement social, sont d’autres facteurs susceptibles d’aggraver une telle situation.
Conseils pour bien s’alimenter
Une consommation suffisante de glucides, protéines et lipides est indispensable au maintien d’un état de santé satisfaisant. Veiller à couvrir ses besoins en sels minéraux et oligo-éléments est aussi indispensable.
Les protéines
Il est indispensable que le sénior consomme quotidiennement une quantité de protéines suffisante. Celles-ci peuvent être trouvées dans certains végétaux (légumes secs) mais surtout dans les produits animaux comme la viande, le poisson, les œufs, les produits laitiers…
On recommande au sujet âgé de consommer une portion de protéines animales au moins une fois par jour (à raison d’une portion de viande ou de poisson de 150 g ou de 2 œufs).
Les glucides (sucres)
Les personnes âgées ont souvent un goût prononcé pour le sucré. Certes, consommer des produits sucrés de temps en temps est source de plaisir, mais les glucides sont surtout à puiser dans les féculents, comme le riz, les pâtes, les pommes de terre, la semoule.
Il est recommandé de consommer du pain (de préférence complet, aux céréales ou au son pour sa richesse en fibres) ainsi qu’un fruit à chaque repas pour sa richesse en vitamines.
Les lipides (graisses)
La population âgée consomme globalement trop de graisses saturées, caractéristiques des produits animaux (beurre, crème). Il est recommandé de remplacer une partie de ces graisses par des lipides d’origine végétale (les huiles en particulier), riches en acides gras insaturés. Consommer de l’huile de colza ou de noix, ainsi que du poisson gras (saumon, thon, maquereau…) permettra de satisfaire les besoins en acides gras essentiels Oméga-3, particulièrement importants pour cette catégorie de population car indispensables au bon fonctionnement cardio-vasculaire.
Les boissons
Pour des apports hydriques suffisants, la personne âgée doit essayer de boire 1,5 L de boissons (eau, tisanes, bouillons, jus de fruits…) régulièrement tout au long de la journée, même si elle n’éprouve pas forcément de sensation de soif.
Les vitamines et minéraux
La prévention des déficits en vitamines et minéraux passe avant tout par une alimentation variée, riche en fruits et légumes frais.
Les vitamines anti-oxydantes (C, E, béta-carotène) sont particulièrement importantes car elles luttent contre les radicaux libres à l’origine du vieillissement cellulaire.
La vitamine C se trouve en grande quantité dans le cassis, le kiwi, les agrumes, ainsi que le persil et les choux de Bruxelles, alors que les principales sources de vitamine E sont les huiles végétales (huile de tournesol, d’olive). Le béta-carotène est présent en grande quantité dans les fruits et légumes colorés en orange, comme la carotte, la pêche, l’abricot, le melon…
Un complément vitaminique peut être envisagé en cas de carence particulière, après avis médical.
Des apports suffisants en calcium peuvent être obtenus par une alimentation diversifiée et suffisante. Il est conseillé de consommer régulièrement des produits laitiers au cours de la journée, et de privilégier les eaux minérales riches en calcium.
Les fromages à pâte dure comme le beaufort, le cantal, l’emmental, le comté ou encore le parmesan sont particulièrement riches en calcium.
Le zinc joue un rôle important dans l’immunité et le maintien d’un état nutritionnel satisfaisant, et il se trouve en grande quantité dans les viandes, les poissons et les fruits de mer.
De manière générale, chez le sujet âgé, les restrictions trop drastiques en certains aliments sont à éviter. Cela concerne en particulier le sel, dont l’apport est souvent considéré comme trop important chez l’adulte en bonne santé ; cependant, chez la personne âgée, un régime restrictif en sel peut s’avérer potentiellement dangereux. Il est bon, dans tous les cas, de se conformer à la prescription du médecin traitant. »
RD
mardi, mai 23, 2006
La sieste et ses bienfaits
Depuis que j'ai pris ma retraite en juillet 2005, j'ai dû réajuster mes horaires quotidiens. Il était courant pour moi de dormir tous les midis une bonne demi-heure au bureau. Maintenant, je n'ai plus d'horaire fixe et je peux faire ce que je veux quand je le veux. Le parfait bonheur vous direz!
Mais, je me suis vite aperçu que je devais me refaire un nouvel horaire quotidien et que je devais aussi garder cette bonne vieille habitude de faire la sieste quand le besoin s'en faisait sentir. En me promenant sur Internet, j'ai découvert aussi que l'on recommandait cet exercice pour se garder en forme toute la journée, quel que soit l'âge de la personne.
Peu de gens en Amérique du Nord pratiquent les vertus de la sieste. Pourtant, la sieste est un des meilleurs moyens de prolonger la vie, sinon de la rendre nettement plus confortable tout au long de son parcours.
Le plus souvent, dans nos sociétés industrialisées, la sieste revêt une connotation négative. Certains la considèrent comme un comportement lié à la petite enfance et l'assimilent alors à une régression. Pour d'autres, au contraire, elle évoque des signes de vieillissement, une manifestation de paresse, un comportement "culturel", surtout dans les pays chauds.
Les spécialistes du sommeil sont catégoriques : « on ne le répètera jamais assez : pour se sentir bien, rien ne vaut une bonne sieste. Pas trop longue et pas trop profonde, juste ce qu'il faut pour recharger ses batteries. »
Le mot SIESTE vient du latin "sixta" qui signifie "la sixième heure du jour". La sieste désigne ainsi le sommeil pris en milieu de journée, vers la sixième heure du jour, mais aussi, plus généralement, toute forme de repos (avec ou sans endormissement) pris en cours de journée par opposition au sommeil de la nuit.
La vie est une succession de périodes de repos et d'activité. Il est essentiel d'organiser correctement ces alternances pour vivre heureux, en bonne santé et rester au maximum de ses possibilités. Une sieste par jour c'est obéir à nos rythmes biologiques fondamentaux, pour une santé optimale et un mode de vie sain et naturel !
Une sieste de 5 minutes dissout le stress, augmente nos performances physiques et psychiques, et nous fait gagner du temps en réduisant la durée du sommeil de la nuit suivante d'une durée pouvant aller jusqu'à une ou deux heures. C'est ce que a permis d'augmenter la vitalité et la créativité de personnages célèbres et bien connus de tous, comme Napoléon, Leonard de Vinci, Edison, Einstein... Pourquoi pas nous, les gens à la retraite qui peuvent aménager leur temps à leur guise.
Savoir faire la sieste, c'est respecter les besoins fondamentaux de l'organisme. On distingue plusieurs types de siestes :
Si vous n'y parvenez pas du premier coup, c'est normal. Persévérez néanmoins : une courte relaxation effectuée ainsi pendant quelques minutes vous permet de récupérer, même si vous n'atteignez pas un sommeil profond dès vos premières tentatives. Progressivement, vous serez capable de faire ainsi des siestes de plus en plus courtes et de plus en plus profondes et réparatrices.Comme toute activité humaine ou sportive, la sieste s'apprend et on peut se perfectionner et progresser avec le temps.
La sieste n'est pas du temps perdu, mais au contraire du temps de gagné, car en se reposant en cours de journée, on diminue le sommeil de la nuit suivante. Plusieurs petits épisodes de sommeil de quelques minutes peuvent ainsi économiser jusqu'à une heure de sommeil la nuit suivante, ce qui permet de gagner un temps précieux, avec en prime le bien-être qui en découle.
Les micro-siestes sont un moyen efficace pour se déstresser, un véritable "secret" de forme et d'efficacité.
Pour devenir plus performant et améliorer sa santé et son bien-être, vive les bienfaits de la micro-sieste, à pratiquer une ou plusieurs fois par jour !
Les siestes sont plus fréquentes chez les personnes âgées, surtout chez les hommes. Le phénomène de sieste chez les personnes âgées correspond à la grande facilité que celles-ci ont à s'endormir le jour.
Avec le temps et la pratique, on peut devenir un "champion de la sieste" capable de s'endormir et de se réveiller n'importe où, en moins de deux minutes !
J'ai vu mon grand père paternel se rendre à l'âge de 91 ans, en gardant la forme d'un jeune homme. Il faisait sa longue marche quotidienne et s'endormait à plusieurs reprises dans son grand fauteuil ou son lit. Je continue de l'imiter. Après tout, je n'ai rien à perdre. Je risque seulement d'accroître ma longévité personnelle.
RD
Mais, je me suis vite aperçu que je devais me refaire un nouvel horaire quotidien et que je devais aussi garder cette bonne vieille habitude de faire la sieste quand le besoin s'en faisait sentir. En me promenant sur Internet, j'ai découvert aussi que l'on recommandait cet exercice pour se garder en forme toute la journée, quel que soit l'âge de la personne.
Peu de gens en Amérique du Nord pratiquent les vertus de la sieste. Pourtant, la sieste est un des meilleurs moyens de prolonger la vie, sinon de la rendre nettement plus confortable tout au long de son parcours.
Le plus souvent, dans nos sociétés industrialisées, la sieste revêt une connotation négative. Certains la considèrent comme un comportement lié à la petite enfance et l'assimilent alors à une régression. Pour d'autres, au contraire, elle évoque des signes de vieillissement, une manifestation de paresse, un comportement "culturel", surtout dans les pays chauds.
Les spécialistes du sommeil sont catégoriques : « on ne le répètera jamais assez : pour se sentir bien, rien ne vaut une bonne sieste. Pas trop longue et pas trop profonde, juste ce qu'il faut pour recharger ses batteries. »
Le mot SIESTE vient du latin "sixta" qui signifie "la sixième heure du jour". La sieste désigne ainsi le sommeil pris en milieu de journée, vers la sixième heure du jour, mais aussi, plus généralement, toute forme de repos (avec ou sans endormissement) pris en cours de journée par opposition au sommeil de la nuit.
La vie est une succession de périodes de repos et d'activité. Il est essentiel d'organiser correctement ces alternances pour vivre heureux, en bonne santé et rester au maximum de ses possibilités. Une sieste par jour c'est obéir à nos rythmes biologiques fondamentaux, pour une santé optimale et un mode de vie sain et naturel !
Une sieste de 5 minutes dissout le stress, augmente nos performances physiques et psychiques, et nous fait gagner du temps en réduisant la durée du sommeil de la nuit suivante d'une durée pouvant aller jusqu'à une ou deux heures. C'est ce que a permis d'augmenter la vitalité et la créativité de personnages célèbres et bien connus de tous, comme Napoléon, Leonard de Vinci, Edison, Einstein... Pourquoi pas nous, les gens à la retraite qui peuvent aménager leur temps à leur guise.
Savoir faire la sieste, c'est respecter les besoins fondamentaux de l'organisme. On distingue plusieurs types de siestes :
- La pause minute ou micro-sieste
Si vous n'y parvenez pas du premier coup, c'est normal. Persévérez néanmoins : une courte relaxation effectuée ainsi pendant quelques minutes vous permet de récupérer, même si vous n'atteignez pas un sommeil profond dès vos premières tentatives. Progressivement, vous serez capable de faire ainsi des siestes de plus en plus courtes et de plus en plus profondes et réparatrices.Comme toute activité humaine ou sportive, la sieste s'apprend et on peut se perfectionner et progresser avec le temps.
La sieste n'est pas du temps perdu, mais au contraire du temps de gagné, car en se reposant en cours de journée, on diminue le sommeil de la nuit suivante. Plusieurs petits épisodes de sommeil de quelques minutes peuvent ainsi économiser jusqu'à une heure de sommeil la nuit suivante, ce qui permet de gagner un temps précieux, avec en prime le bien-être qui en découle.
Les micro-siestes sont un moyen efficace pour se déstresser, un véritable "secret" de forme et d'efficacité.
Pour devenir plus performant et améliorer sa santé et son bien-être, vive les bienfaits de la micro-sieste, à pratiquer une ou plusieurs fois par jour !
- Petite sieste
- Grande sieste
1h30 pas plus, efficace parce que c'est le temps d'un cycle de sommeil complet. Évidemment réservée au week-end ou aux vacances, à condition de s'être levée avant 9h du matin ! C'est la sieste traditionnelle, on s'allonge sur un lit, dans la pénombre, en tenue légère et confortable. À la fin du cycle, on se réveille naturellement.
Les siestes sont plus fréquentes chez les personnes âgées, surtout chez les hommes. Le phénomène de sieste chez les personnes âgées correspond à la grande facilité que celles-ci ont à s'endormir le jour.
Avec le temps et la pratique, on peut devenir un "champion de la sieste" capable de s'endormir et de se réveiller n'importe où, en moins de deux minutes !
J'ai vu mon grand père paternel se rendre à l'âge de 91 ans, en gardant la forme d'un jeune homme. Il faisait sa longue marche quotidienne et s'endormait à plusieurs reprises dans son grand fauteuil ou son lit. Je continue de l'imiter. Après tout, je n'ai rien à perdre. Je risque seulement d'accroître ma longévité personnelle.
RD
lundi, mai 22, 2006
Guide Internet : information à destination des débutants
Internet, c'est magique pour ceux qui savent s'en servir. Mais, pour un très grand nombre de personnes qui abordent la cinquantaine et plus, c'est un mystère, un inconnu.
Pourquoi? La réponse est simple : ce sont de nouvelles technologies de l'information (NTIC) qui sont tout de même assez récentes, tout prêt de l'an 2000. Et, l'apprentissage sur le tard et sur le tas, comme on dit généralement, ne se fait pas, ou est plus difficile pour les gens qui sont d'âge mûr. Il faut souvent être initié aux NTIC pour apprécier toutes leurs saveurs.
Ce n'est pas comme la radio ou la télévision qui ont envahi notre univers multimédia depuis plus d'un demi-siècle. Je ne parlerai pas de la radio parce que c'était avant mon époque. Ici, au Québec, l'aventure de la télévision remonte au début des années cinquante. (Voyez toujours le mot cinquante qui réapparaît). Une technologie qui a elle aussi progressé. Les premières diffusions de programmes grand public étaient caractérisées par une image en noir et blanc avec beaucoup de neige. Et beaucoup plus tard (début des années 70), est apparue la magie de la couleur. Maintenant, on prévoit la Haute définition autour des années 2010.
L'apparition du PC et d'Internet est venue changer le monde. Un peu comme l'a fait le téléphone au début du siècle. En quelques années, tout le monde, de partout dans le monde, s'est branché et a commencé à s'échanger des informations, à communiquer par courriel, à «chater », à lire ses nouvelles sur Internet, écouter des films, de la musique, etc. Les étudiants reçoivent leurs bulletins sur Internet. Un très grand nombre de Canadiens font leurs transactions bancaires sur Internet, achètent des produits et services sur ce média. Les services gouvernementaux deviennent virtuels. Et, on est loin d'avoir vu le bout de cette révolution,...
Je trouve dommage que tant de personnes «âgées » ne se branchent pas et manquent le bateau parce qu'ils appartiennent à l'autre génération qui précède. Il y a là, bien sûr, une question d'intérêt. Si on préfère le bingo, la danse, les rencontres sociales et familiales et j'en passe, on finit par manquer de temps et d'énergie. Mais, tout le monde fait usage du téléphone et de plus en plus, du téléphone sans fil. Alors, il y a place sûrement pour l'ordinateur et Internet.
Je propose ci-dessous une avenue d'apprentissage qui s'adresse à tous les débutants qui veulent se familiariser avec Internet. Libre à vous d'en profiter!
Les grands titres des chapitres du guide : (tout à fait gratuit)
Pourquoi? La réponse est simple : ce sont de nouvelles technologies de l'information (NTIC) qui sont tout de même assez récentes, tout prêt de l'an 2000. Et, l'apprentissage sur le tard et sur le tas, comme on dit généralement, ne se fait pas, ou est plus difficile pour les gens qui sont d'âge mûr. Il faut souvent être initié aux NTIC pour apprécier toutes leurs saveurs.
Ce n'est pas comme la radio ou la télévision qui ont envahi notre univers multimédia depuis plus d'un demi-siècle. Je ne parlerai pas de la radio parce que c'était avant mon époque. Ici, au Québec, l'aventure de la télévision remonte au début des années cinquante. (Voyez toujours le mot cinquante qui réapparaît). Une technologie qui a elle aussi progressé. Les premières diffusions de programmes grand public étaient caractérisées par une image en noir et blanc avec beaucoup de neige. Et beaucoup plus tard (début des années 70), est apparue la magie de la couleur. Maintenant, on prévoit la Haute définition autour des années 2010.
L'apparition du PC et d'Internet est venue changer le monde. Un peu comme l'a fait le téléphone au début du siècle. En quelques années, tout le monde, de partout dans le monde, s'est branché et a commencé à s'échanger des informations, à communiquer par courriel, à «chater », à lire ses nouvelles sur Internet, écouter des films, de la musique, etc. Les étudiants reçoivent leurs bulletins sur Internet. Un très grand nombre de Canadiens font leurs transactions bancaires sur Internet, achètent des produits et services sur ce média. Les services gouvernementaux deviennent virtuels. Et, on est loin d'avoir vu le bout de cette révolution,...
Je trouve dommage que tant de personnes «âgées » ne se branchent pas et manquent le bateau parce qu'ils appartiennent à l'autre génération qui précède. Il y a là, bien sûr, une question d'intérêt. Si on préfère le bingo, la danse, les rencontres sociales et familiales et j'en passe, on finit par manquer de temps et d'énergie. Mais, tout le monde fait usage du téléphone et de plus en plus, du téléphone sans fil. Alors, il y a place sûrement pour l'ordinateur et Internet.
Je propose ci-dessous une avenue d'apprentissage qui s'adresse à tous les débutants qui veulent se familiariser avec Internet. Libre à vous d'en profiter!
- Un guide Internet : information à destination des débutants qui contient des informations générales sur Internet. Auteur : Dominique Dupagne, remerciements à Jean François Bustarret pour les corrections techniques. Reproduction totale ou partielle autorisée avec mention de la source http://www.atoute.org/guid_int.htm
- Un lexique Internet pour débutants qui donne une brève définition des principaux termes utilisés sur Internet. Il se veut une aide pour les "nuls en Internet". : Auteur : Dominique Dupagne, remerciements à Jean François Bustarret pour les corrections techniques. Reproduction totale ou partielle autorisée avec mention de la source: http://www.atoute.org/lexique_internet.htm
Les grands titres des chapitres du guide : (tout à fait gratuit)
- Qu'est-ce qu'Internet ?
- Qu'est ce que le Web ?
- Que signifie HTML ?
- Qu'est qu'une adresse de site sur le Web ?
- Qu'est-ce que le courrier électronique?
- Comment Internet est-il né ?
- Quel matériel pour commencer sur Internet ?
- Comment réussir sa première connexion ?
- Comment " surfer " ?
- Comment rechercher de l'information générale sur le web ?
- Comment se protéger des virus informatiques ?
- Comment se protéger des courriers publicitaires indésirables?
- Que signifient FTP, Usenet, Telnet, IRC et autres gros mots?
- Sous quel format les documents sont ils disponibles ?
- Qu'est-ce que la Netiquette?
- Vie et mort des liens Internet
Bonne lecture!
RD
dimanche, mai 21, 2006
Vieillir et élargir ses horizons : Pourquoi pas découvrir l'Afrique?
Quand on parle de l'afrique, pour nous, c'est l'apocalypse. Ce que l'on connaît de l'Afrique et ce que l'on en retient, ce sont les histoires d'horreur qui sont reliées au Sida, à la famine, aux épidémies, aux guerres et aux populations maltraitées. C'est tellement éprouvant que le plus souvent, on prend la manette et on change de canal de télévision pour ne plus voir les images que la Presse électronique nous met sous les yeux. Et, les reportages portant sur l'Afrique ne sont pas légion.
Je suis à peu prêt certain que je ne me rendrai jamais en personne en Afrique. Pourquoi? Il y a le coût du voyage, bien sûr, mais mon système immunitaire ne pourrait me protéger suffisamment. Maintenant, je suis un humain avec des limites de santé. Je n'aurai jamais le courage d'un Livingstone, non plus.
Mais, je sais, par exemple, qu'un grand nombre de jeunes Africains de la génération actuelle, répartis dans plusieurs pays, est en train de mourir du Sida, laissant leurs enfants à leurs grands-parents pour les élever et les nourrir. Sommes-nous là pour prêter main-forte?
Avec les Nouvelles technologies de l'information (NTIC), particulièrement Internet, tout devient possible. Maintenant, que l'on a du temps et même beaucoup de temps, nous sommes disponibles pour nous ouvrir à de nouvelles réalités. Nous pouvons faire jouer nos méninges et nos relations. Et alors, finalement, c'est quoi l'Afrique comme continent?
Je vous suggère de vous procurer l'encyclopédie de Microsoft Encarta qui est, à mon avis, ce qui se fait de mieux pour initier un ou une « jeune » aîné(e) sur le sujet. Les moteurs de recherche comme Google vous en apprendront énormément avec quelques mots clés bien placés et quelques clics additionnels de votre souris.
Mais, il y a aussi toutes les beautés et splendeurs de ce continent qui nous échappent culturellement ou géographiquement. C'est une avenue que nous est peu connue. À nous de les découvrir en explorant chacun des pays virtuellement. J'ai trouvé un portail qui m'apparaît SUPER pour se documenter sur l'Afrique et sur tout ce qui s'y passe présentement, dans tous les domaines de l'actualité. Je vous propose donc le site Internet suivant : http://afriqueindex.com/
Je crois que les gens de notre âge peuvent apporter beaucoup aux populations de ces multiples pays aux prises avec des difficultés sans limite et sans frontière. Quoi exactement? À nous de le découvrir! Les grandes réalisations, c'est encore à la portée de notre génération ou des associations qui nous représentent. À tout le moins, on devrait prendre le temps de fureter sur Internet et de s'approprier de nouvelles connaissances qui nous feraient participer encore plus au Village global que l'on est devenu.
RD
Je suis à peu prêt certain que je ne me rendrai jamais en personne en Afrique. Pourquoi? Il y a le coût du voyage, bien sûr, mais mon système immunitaire ne pourrait me protéger suffisamment. Maintenant, je suis un humain avec des limites de santé. Je n'aurai jamais le courage d'un Livingstone, non plus.
Mais, je sais, par exemple, qu'un grand nombre de jeunes Africains de la génération actuelle, répartis dans plusieurs pays, est en train de mourir du Sida, laissant leurs enfants à leurs grands-parents pour les élever et les nourrir. Sommes-nous là pour prêter main-forte?
Avec les Nouvelles technologies de l'information (NTIC), particulièrement Internet, tout devient possible. Maintenant, que l'on a du temps et même beaucoup de temps, nous sommes disponibles pour nous ouvrir à de nouvelles réalités. Nous pouvons faire jouer nos méninges et nos relations. Et alors, finalement, c'est quoi l'Afrique comme continent?
Je vous suggère de vous procurer l'encyclopédie de Microsoft Encarta qui est, à mon avis, ce qui se fait de mieux pour initier un ou une « jeune » aîné(e) sur le sujet. Les moteurs de recherche comme Google vous en apprendront énormément avec quelques mots clés bien placés et quelques clics additionnels de votre souris.
Mais, il y a aussi toutes les beautés et splendeurs de ce continent qui nous échappent culturellement ou géographiquement. C'est une avenue que nous est peu connue. À nous de les découvrir en explorant chacun des pays virtuellement. J'ai trouvé un portail qui m'apparaît SUPER pour se documenter sur l'Afrique et sur tout ce qui s'y passe présentement, dans tous les domaines de l'actualité. Je vous propose donc le site Internet suivant : http://afriqueindex.com/
Je crois que les gens de notre âge peuvent apporter beaucoup aux populations de ces multiples pays aux prises avec des difficultés sans limite et sans frontière. Quoi exactement? À nous de le découvrir! Les grandes réalisations, c'est encore à la portée de notre génération ou des associations qui nous représentent. À tout le moins, on devrait prendre le temps de fureter sur Internet et de s'approprier de nouvelles connaissances qui nous feraient participer encore plus au Village global que l'on est devenu.
RD
Pourquoi la maltraitance des personnes âgées ?
C'est le titre d'un article que j'ai découvert sur Internet. S'il y a quelque chose de malheureux, c'est bien cette forme odieuse de violence. Si nous la laissons prospérer et n'en prenons pas notre partie dès maintenant, un jour lointain mais toujours possible, certains d'entre nous pourrions être réduits à la subir, particulièrement au moment du très grand âge.
Je vous laisse lire le texte de l'article. Il est très court, mais permet de comprendre la dynamique en cause.
« L’espérance de vie accrue, le vieillissement de la population et les évolutions familiales récentes dans la plupart des pays occidentaux sous-tendent le souci actuel pour les personnes âgées et leur qualité de vie.
D’une part, de nombreuses initiatives sont prises en faveur des personnes âgées: journées d’études, rencontres internationales, charte des droits des personnes âgées, année internationale des personnes âgées en 1999. D’autre part, l’image véhiculée par la vieillesse est loin d’être positive dans la société actuelle : l’âge est souvent perçu comme source de discrimination, de déchéance et non de qualités nouvelles comme autrefois (maturité, expérience, recul, compréhension des choses de la vie). Certains aînés sont présentés comme une lourde charge pour la société : charge sociale et charge financière. A l’heure actuelle, une image infantilisante de la vieillesse et des « vieux » est aussi fort prégnante .
De plus, la vieillesse renvoie les plus jeunes à leurs propres peurs et leurs propres angoisses : angoisse de la mort, peur de vieillir et de devenir dépendant. La vieillesse des autres réveille en eux des questions quant à leur avenir et leur futur. La prise en charge des personnes âgées dépendantes peut générer des difficultés, du stress ou du surmenage pour les proches et/ou pour les professionnels.
Ces difficultés peuvent être à l’origine de maltraitance envers les personnes âgées.
On oublie parfois que les aînés sont des personnes à part entière, possédant leurs propres ressources et expériences à partager. Pour beaucoup, la vieillesse se passe sans difficultés ni problème, elle représente une période riche en expériences familiales et relationnelles et beaucoup restent autonomes. La mise sur pied d'initiatives qui ne confinent pas les aînés à un second plan le confirme. À ce titre, les différentes expériences intergénérationnelles se basant sur la création de liens et la fondation de solidarité renforcent ce partage d'expériences ainsi que la personnalité et l’individualité des aînés. »
J'ai appris par la même occasion que La Belgique avait pris des mesures à ce chapitre, en collaboration avec d'autres pays dont fait partie le Canada, représenté par la Province de Québec.
À l'initiative du Centre d'Aide aux Personnes Agées Maltraitées et grâce au soutien de :
En effet, la Région Wallonne et la Région Bruxelloise ont souhaité contribuer à la prévention des abus perpétrés à l’encontre des personnes âgées.
Ce réseau regroupe diverses organisations intéressées par les personnes âgées, leur bien-être et la prévention en matière de maltraitance : structures officielles régionales et communautaires, coordinations de soins et services à domicile, institution universitaire, associations de services aux personnes âgées, représentant de la magistrature, gestionnaires de maisons de repos privées et publiques …
Il permet la coordination de ces structures, l’échange et le partage de réflexions autour d’un projet commun.
Ce réseau propose une source d’information permanente relative aux aînés, à leur environnement, à la prévention et à la prise en charge de la maltraitance envers les personnes âgées : informations sur leurs droits, sur les modes et lieux de vie, sur les aides et ressources présentes, sur les actions de formation et de sensibilisation par rapport à la maltraitance pour les professionnels ou pour tout public.
Ce réseau collabore, à un niveau international, avec des intervenants d’autres communautés francophones telles le Québec, la Suisse et la France.
Pour plus d'informations, voir le site Internet Réseau Internet francophone « Vieillir en liberté » (RIFVEL international) : http://www.fep.umontreal.ca/violence
RD
Je vous laisse lire le texte de l'article. Il est très court, mais permet de comprendre la dynamique en cause.
« L’espérance de vie accrue, le vieillissement de la population et les évolutions familiales récentes dans la plupart des pays occidentaux sous-tendent le souci actuel pour les personnes âgées et leur qualité de vie.
D’une part, de nombreuses initiatives sont prises en faveur des personnes âgées: journées d’études, rencontres internationales, charte des droits des personnes âgées, année internationale des personnes âgées en 1999. D’autre part, l’image véhiculée par la vieillesse est loin d’être positive dans la société actuelle : l’âge est souvent perçu comme source de discrimination, de déchéance et non de qualités nouvelles comme autrefois (maturité, expérience, recul, compréhension des choses de la vie). Certains aînés sont présentés comme une lourde charge pour la société : charge sociale et charge financière. A l’heure actuelle, une image infantilisante de la vieillesse et des « vieux » est aussi fort prégnante .
De plus, la vieillesse renvoie les plus jeunes à leurs propres peurs et leurs propres angoisses : angoisse de la mort, peur de vieillir et de devenir dépendant. La vieillesse des autres réveille en eux des questions quant à leur avenir et leur futur. La prise en charge des personnes âgées dépendantes peut générer des difficultés, du stress ou du surmenage pour les proches et/ou pour les professionnels.
Ces difficultés peuvent être à l’origine de maltraitance envers les personnes âgées.
On oublie parfois que les aînés sont des personnes à part entière, possédant leurs propres ressources et expériences à partager. Pour beaucoup, la vieillesse se passe sans difficultés ni problème, elle représente une période riche en expériences familiales et relationnelles et beaucoup restent autonomes. La mise sur pied d'initiatives qui ne confinent pas les aînés à un second plan le confirme. À ce titre, les différentes expériences intergénérationnelles se basant sur la création de liens et la fondation de solidarité renforcent ce partage d'expériences ainsi que la personnalité et l’individualité des aînés. »
J'ai appris par la même occasion que La Belgique avait pris des mesures à ce chapitre, en collaboration avec d'autres pays dont fait partie le Canada, représenté par la Province de Québec.
À l'initiative du Centre d'Aide aux Personnes Agées Maltraitées et grâce au soutien de :
- la Région Wallonne : le Ministère des Affaires sociales et de la Santé
- la Région Bruxelloise : la Commission Communautaire Française
En effet, la Région Wallonne et la Région Bruxelloise ont souhaité contribuer à la prévention des abus perpétrés à l’encontre des personnes âgées.
Ce réseau regroupe diverses organisations intéressées par les personnes âgées, leur bien-être et la prévention en matière de maltraitance : structures officielles régionales et communautaires, coordinations de soins et services à domicile, institution universitaire, associations de services aux personnes âgées, représentant de la magistrature, gestionnaires de maisons de repos privées et publiques …
Il permet la coordination de ces structures, l’échange et le partage de réflexions autour d’un projet commun.
Ce réseau propose une source d’information permanente relative aux aînés, à leur environnement, à la prévention et à la prise en charge de la maltraitance envers les personnes âgées : informations sur leurs droits, sur les modes et lieux de vie, sur les aides et ressources présentes, sur les actions de formation et de sensibilisation par rapport à la maltraitance pour les professionnels ou pour tout public.
Ce réseau collabore, à un niveau international, avec des intervenants d’autres communautés francophones telles le Québec, la Suisse et la France.
Pour plus d'informations, voir le site Internet Réseau Internet francophone « Vieillir en liberté » (RIFVEL international) : http://www.fep.umontreal.ca/violence
RD
Comment vont se porter les aînés dans le futur?
C'est une donne importante pour l'ensemble du monde entier. Les pays qui vont voir leur population vieillir vite sont bien connus. Je n'en nomme que quelques-uns à titre indicatif : le Japon, l'Allemagne, l'Italie, Le Canada, ...
Qu'est-ce qui va se passer et que voudront ces vieillards en puissance, le pouvoir gris comme on l'appelle généralement? Pour le savoir, je vous réfère à une étude qui en dit beaucoup et même plus sur les attentes des gens qui font faire partie de cette génération.
Allez voir sur le lien suivant et vous m'en direz des nouvelles :
http://www.vivre100ans.fr/vieillissement/powerage/
Je vous en donne un aperçu. À vous, de consulter le site mentionné ci-dessus pour en savoir plus :
Les résultats de la première recherche menée dans 11 pays sur l'évolution des besoins et des attentes des Seniors entermes de Qualité de Vie au Quotidien
L'Observatoire Sodexho de la Qualité de Vie au Quotidien est un outil de recherche à vocation internationale qui analyse les attentes et les comportements actuels et futurs des consommateurs.Pour sa première mission, l'Observatoire Sodexho a choisi d'étudier l'évolution des besoins et attentes des Seniors en termes de qualité de vie au quotidien.
« Notre planète connaît aujourd'hui une véritable révolution démographique.De 3 milliards d'habitants en 1950, nous sommes passés à 6 milliards en 1999, et nous serons probablement 11 milliards en 2025. Mais surtout, l'un des faits les plus marquants est l'explosion du nombre des plus âgés et l'accroissement prévu de leur part dans la population mondiale.En effet, alors que le taux de natalité des pays en voie de développement reste très élevé, celui des autres nations stagne ou régresse : d'ores et déjà, elles n'assurent plus le renouvellement de leur population.Les baby-boomers des années 1950 - 1960 sont devenus les papy-boomers des années 2000. Nous entrons dans le "Power Age", une ère nouvelle dominée par des Seniors mieux soignés, mieux logés, mieux nourris, mieux informés et qui vivront beaucoup plus longtemps.De plus en plus nombreux, de plus en plus actifs, ils représentent une puissance économique et sociale incontournable, et vont être amenés à revendiquer une place et des droits spécifiques.Ils étaient à la périphérie du monde, les voilà au centre.
11 pays et 101 millions de Seniors observés
Cette première recherche de l'Observatoire Sodexho de la Qualité de Vie au Quotidien s'intéresse aux 101 millions de Seniors âgés de plus de 65 ans, vivant dans 11 pays où la population senior est particulièrement dense. Ils représentent 19 % des 540 millions de Seniors dans le monde et 2 % de la population mondiale.Ces pays constituent, de ce fait, des "laboratoires" riches d'enseignements : l'Allemagne, la Belgique, le Brésil, le Canada, l'Espagne, les Etats-Unis, la France, l'Italie, les Pays-Bas, le Royaume-Uni et la Suède cumulent 55 % du Produit Intérieur Brut mondial et leurs Seniors détiennent 5.3 % de la richesse mondiale.Ces onze pays bénéficient d'une réelle qualité de vie et satisfont les besoins fondamentaux de leurs habitants : santé, logement, nourriture, habillement, déplacement, liberté d'expression et de pensée. Ils ont donc les moyens d'expérimenter et de commercialiser des produits et des services pour les plus âgés, aussi bien dans un cadre public que privé.
3.4 millions de données statistiques triées, analysées et synthétisées
Pour mener à bien cette première recherche, l'Observatoire Sodexho de la Qualité de Vie au Quotidien a rassemblé une masse d'informations provenant de 523 sources différentes : elles représentent plus de 194 000 pages de textes et tableaux, et ont été classées en 1 056 références. Elles proviennent de grands organismes internationaux, de centres de recherche, d'instituts et de réseaux spécialisés sur les Seniors.L'Observatoire Sodexho de la Qualité de Vie au Quotidien a trié et traité ces informations pour constituer une base de plus de 3.4 millions de données statistiques qu'il a analysées, puis synthétisées.Ces informations, constamment actualisées, concernent aussi bien le passé et le présent que l'avenir.Elles ont été systématiquement recoupées (2, voir 3 sources).Enfin, les données recueillies et analysées ont permis d'élaborer la première typologie internationale des Seniors face à leur qualité de vie au quotidien dans 11 pays, afin de chercher à mieux comprendre leurs besoins et leurs attentes.
Les grandes lignes de l'étude :
Du temps des vieux au « Power Age » : La mutation des seniors des années 2000
Si vous êtes un «JEUNE» vieux, renseignez-vous! Vous êtes loin d'être en voie de disparition.
RD
Qu'est-ce qui va se passer et que voudront ces vieillards en puissance, le pouvoir gris comme on l'appelle généralement? Pour le savoir, je vous réfère à une étude qui en dit beaucoup et même plus sur les attentes des gens qui font faire partie de cette génération.
Allez voir sur le lien suivant et vous m'en direz des nouvelles :
http://www.vivre100ans.fr/vieillissement/powerage/
Je vous en donne un aperçu. À vous, de consulter le site mentionné ci-dessus pour en savoir plus :
Les résultats de la première recherche menée dans 11 pays sur l'évolution des besoins et des attentes des Seniors entermes de Qualité de Vie au Quotidien
L'Observatoire Sodexho de la Qualité de Vie au Quotidien est un outil de recherche à vocation internationale qui analyse les attentes et les comportements actuels et futurs des consommateurs.Pour sa première mission, l'Observatoire Sodexho a choisi d'étudier l'évolution des besoins et attentes des Seniors en termes de qualité de vie au quotidien.
« Notre planète connaît aujourd'hui une véritable révolution démographique.De 3 milliards d'habitants en 1950, nous sommes passés à 6 milliards en 1999, et nous serons probablement 11 milliards en 2025. Mais surtout, l'un des faits les plus marquants est l'explosion du nombre des plus âgés et l'accroissement prévu de leur part dans la population mondiale.En effet, alors que le taux de natalité des pays en voie de développement reste très élevé, celui des autres nations stagne ou régresse : d'ores et déjà, elles n'assurent plus le renouvellement de leur population.Les baby-boomers des années 1950 - 1960 sont devenus les papy-boomers des années 2000. Nous entrons dans le "Power Age", une ère nouvelle dominée par des Seniors mieux soignés, mieux logés, mieux nourris, mieux informés et qui vivront beaucoup plus longtemps.De plus en plus nombreux, de plus en plus actifs, ils représentent une puissance économique et sociale incontournable, et vont être amenés à revendiquer une place et des droits spécifiques.Ils étaient à la périphérie du monde, les voilà au centre.
11 pays et 101 millions de Seniors observés
Cette première recherche de l'Observatoire Sodexho de la Qualité de Vie au Quotidien s'intéresse aux 101 millions de Seniors âgés de plus de 65 ans, vivant dans 11 pays où la population senior est particulièrement dense. Ils représentent 19 % des 540 millions de Seniors dans le monde et 2 % de la population mondiale.Ces pays constituent, de ce fait, des "laboratoires" riches d'enseignements : l'Allemagne, la Belgique, le Brésil, le Canada, l'Espagne, les Etats-Unis, la France, l'Italie, les Pays-Bas, le Royaume-Uni et la Suède cumulent 55 % du Produit Intérieur Brut mondial et leurs Seniors détiennent 5.3 % de la richesse mondiale.Ces onze pays bénéficient d'une réelle qualité de vie et satisfont les besoins fondamentaux de leurs habitants : santé, logement, nourriture, habillement, déplacement, liberté d'expression et de pensée. Ils ont donc les moyens d'expérimenter et de commercialiser des produits et des services pour les plus âgés, aussi bien dans un cadre public que privé.
3.4 millions de données statistiques triées, analysées et synthétisées
Pour mener à bien cette première recherche, l'Observatoire Sodexho de la Qualité de Vie au Quotidien a rassemblé une masse d'informations provenant de 523 sources différentes : elles représentent plus de 194 000 pages de textes et tableaux, et ont été classées en 1 056 références. Elles proviennent de grands organismes internationaux, de centres de recherche, d'instituts et de réseaux spécialisés sur les Seniors.L'Observatoire Sodexho de la Qualité de Vie au Quotidien a trié et traité ces informations pour constituer une base de plus de 3.4 millions de données statistiques qu'il a analysées, puis synthétisées.Ces informations, constamment actualisées, concernent aussi bien le passé et le présent que l'avenir.Elles ont été systématiquement recoupées (2, voir 3 sources).Enfin, les données recueillies et analysées ont permis d'élaborer la première typologie internationale des Seniors face à leur qualité de vie au quotidien dans 11 pays, afin de chercher à mieux comprendre leurs besoins et leurs attentes.
Les grandes lignes de l'étude :
Du temps des vieux au « Power Age » : La mutation des seniors des années 2000
- Introduction
- La mutation des Séniors : de nouveaux citoyens et consommateurs
- Du temps des «Vieux» au «Power Age» : La marche vers le pouvoir
- Les habitudes et comportements des Séniors : quelques faits et chiffres
Si vous êtes un «JEUNE» vieux, renseignez-vous! Vous êtes loin d'être en voie de disparition.
RD
samedi, mai 20, 2006
L'heure de la retraite, c'est quand?
Savez-vous quand c'est l'heure de la retraite? Évidemment, tout le monde pense en terme d'échéance comme 65 ans. Mais, en réalité, tout se passe autrement. L'âge de la retraite, ça se passe dans la tête à tous et chacun d'entre nous. Il vient un moment dans la vie où le travail doit faire place à une autre période, celle de la retraite.
Comment ça se passe? un peu comme la fin des études ou le début sur le marché du travail. On a envie de faire autre chose. Dans le cas de la retraite, on s'aperçoit que les enfants sont élevés, que l'on est divorcé ou séparé, que sa partenaire rêve de voyages, etc. On regarde les jeunes arriver sur le marché du travail et on a envie de faire autre chose. On n'arrête pas les jours, les mois ou les années de s'écouler. Il en est de même de la vie de tous et chacun d'entre nous.
Moi, j'aime bien l'histoire. Je lis sur les civilisations qui nous ont précédé et je suis estomaqué de constater comme on n'a pas appris de nos prédécesseurs. Pour nombre d'entre nous, le passé, c'est oublié. Un instant! L'humanité n'est pas en phase de se redéfinir à chaque génération. Mais, d'autres diront que c'est le prix à payer pour progresser. Il faut que l'on se fasse une opinion, tous et chacun. C'est le bilan qui compte.
Mon dada, c'est de me regarder vieillir. Après tout, je suis unique. Je me sens différent des autres humains. J'ai un nom qui m'est propre, même si des fois d'autres portent le même. Je ne veux pas mourir ou être malade. Est-ce que ça va m'arriver? Je vois passer des gens tous les jours dans la Nécro dans les journaux. Au fond de moi-même, j'ai un sentiment d'appartenance à l'espèce humaine. Mais, je ne voudrais pas qu'il m'arrive le pire. Darwin, vous connaissez, celui qui a écrit un bouquin que peu ont lu « De l'origine des espèces ». Je pense que c'est le titre de l'ouvrage. Il nous a dit avec le plus de retenu possible que nous étions semblable aux autres espèces vivantes sur terre. Difficile à digérer même aujourd'hui.
Évidemment, je ne suis pas un gorille ou un ourang-outan. Je suis un humain de l'espèce Homo Sapiens sapiens. Deux fois sapiens, ça nous aide dans l'échelle de progression des espèces vivantes sur terre. On vit tous et chacun une expérience unique de vie. Quoi faire d'autre quand vient le moment de s'arrêter et de vivre une autre manière de vivre : la retraite. Bof! Demain, j'ai le temps d'y penser.
RD
Comment ça se passe? un peu comme la fin des études ou le début sur le marché du travail. On a envie de faire autre chose. Dans le cas de la retraite, on s'aperçoit que les enfants sont élevés, que l'on est divorcé ou séparé, que sa partenaire rêve de voyages, etc. On regarde les jeunes arriver sur le marché du travail et on a envie de faire autre chose. On n'arrête pas les jours, les mois ou les années de s'écouler. Il en est de même de la vie de tous et chacun d'entre nous.
Moi, j'aime bien l'histoire. Je lis sur les civilisations qui nous ont précédé et je suis estomaqué de constater comme on n'a pas appris de nos prédécesseurs. Pour nombre d'entre nous, le passé, c'est oublié. Un instant! L'humanité n'est pas en phase de se redéfinir à chaque génération. Mais, d'autres diront que c'est le prix à payer pour progresser. Il faut que l'on se fasse une opinion, tous et chacun. C'est le bilan qui compte.
Mon dada, c'est de me regarder vieillir. Après tout, je suis unique. Je me sens différent des autres humains. J'ai un nom qui m'est propre, même si des fois d'autres portent le même. Je ne veux pas mourir ou être malade. Est-ce que ça va m'arriver? Je vois passer des gens tous les jours dans la Nécro dans les journaux. Au fond de moi-même, j'ai un sentiment d'appartenance à l'espèce humaine. Mais, je ne voudrais pas qu'il m'arrive le pire. Darwin, vous connaissez, celui qui a écrit un bouquin que peu ont lu « De l'origine des espèces ». Je pense que c'est le titre de l'ouvrage. Il nous a dit avec le plus de retenu possible que nous étions semblable aux autres espèces vivantes sur terre. Difficile à digérer même aujourd'hui.
Évidemment, je ne suis pas un gorille ou un ourang-outan. Je suis un humain de l'espèce Homo Sapiens sapiens. Deux fois sapiens, ça nous aide dans l'échelle de progression des espèces vivantes sur terre. On vit tous et chacun une expérience unique de vie. Quoi faire d'autre quand vient le moment de s'arrêter et de vivre une autre manière de vivre : la retraite. Bof! Demain, j'ai le temps d'y penser.
RD